Cela commence en 286, lorsque les paysans gaulois (dont les Aubois) forment la grande ligue, sous le nom de « Bagaudie » : « pressurés par les propriétaires, que pressuraient à leur tour les agents du fisc, les paysans avaient quitté par troupes leurs chaumières pour mendier un pain qu’on ne pouvait pas leur donner. Chassés par la milice de Troyes, ils se faisaient bandits ou bagaudes. On vit dans des cantons des colons se réunir, tuer et manger leur bétail, et, montés sur leurs chevaux de labour, armés de leurs instruments de culture, fondre sur les campagnes comme une tempête… ». Dans les troubles graves de 1411 à 1413, Jean de Troyes chirurgien occupe un rang élevé parmi les révolutionnaires. Il est partisan du duc de Bourgogne, très éloquent et dirige le mouvement populaire. C’est lui qui fait adopter aux parisiens, pour signe de ralliement, le fameux chaperon blanc des Gaulois. En 1514, à l’occasion de la levée d’un impôt dont tous les habitants sont frappés, le 15 août « ils se portent en foule dans les maisons de Michel Angenoust et de Jacquet Dorey, chargés de cette levée. Ils les pillent, les meubles sont emportés ou brisés, les portes, les fenêtres et les verrières sont rompues ». La ville répare, à ses frais, ce dommage matériel, et les fauteurs de ces désordres sont emprisonnés. De 1508 à 1538, il y a « des émotions et mutineries populaires, car le manque de récoltes a fait enchérir les blés et les autres subsistances alimentaires. Les ouvriers drapiers et les papetiers manquent d’ouvrage, ils mendient de porte en porte et menacent les habitants aisés et disent qu’il est temps de rompre les greniers de Troyes et autres paroles séditieuses et scandaleuses ». L’été 1561, la « Belle-croix » joue un grand rôle ; place de la mairie, et il y a des miracles. Sur cette place habite un apothicaire huguenot qui ne croit pas à ces prétendues scènes miraculeuses. Le peuple catholique et les pèlerins qui viennent de loin, irrités de cette raillerie, brisent ses vitres, pénètrent dans sa maison et la pillent. L’apothicaire se cache pour sauver sa vie. Quelques jours après, certains auteurs de ce pillage sont arrêtés. Un jeune homme de Vaudes est condamné à être pendu. Au moment de l’exécution, le peuple s’ameute de nouveau, mais, cette fois, contre le lieutenant-criminel et contre les sergents « à qui il est jeté des pierres et qui se retirent après avoir déchargé leurs armes sur la foule ». Le peuple arrache la potence et frappe avec violence l’exécuteur des hautes œuvres. Néanmoins le patient est pendu et bientôt arraché de la potence donnant encore des signes de vie. Le moribond est transporté dans l’église Saint-Remi, où il est saigné. Il meurt le lendemain et son corps est inhumé dans l’église. En 1562, des magistrats, avec leurs archers et sergents ainsi que des gens de la compagnie du duc de Nevers, en armes, parcourent la ville et visitent les maisons des réformés. Ils entrent de force dans les maisons des protestants, sous prétexte d’y saisir des armes. Mais, les maisons sont pillées et les bibles, les psaumes et autres livres à l’usage des réformés sont pris et brûlés. Le 5 août, une femme est frappée de coups de dagues, traînée dans les rues, puis jetée dans le ru Cordé. Le même jour, des soldats forcent des maisons, s’emparent des enfants protestants et les portent dans les églises, afin de les faire baptiser suivant le rite romain. Cette bande armée se transporte ensuite aux Buttes-des-Archers, où se fait le prêche, s’empare de la chaire, la porte au Marché-à Blé, « et après y avoir attaché un hareng saur (faisant ainsi allusion au pasteur Sorel) et placé une bible sur cette chaire, le feu dévora le tout ». Cette même bande continue ses tristes exploits. Des protestants sont tués d’un coup d’arquebuse, d’autres jetés dans la rivière, certains restent morts sur place, d’autres blessés à mort, sont traînés dans les rues, puis jetés à l’eau… Un grand nombre de maisons sont abandonnées par leurs habitants. Les portes en sont brisées par ces forcenés qui s’emparent des meubles, du vin, du blé, qu’ils vendent à leur profit. Certaines de ces maisons sont occupées par ces soldats, quelques unes sont démolies. Excités par des habitants catholiques et des membres du clergé des soldats se livrent à de nouvelles violences contre les réformés. Ils vont de nuit dans leurs maisons, situées soit en ville soit aux champs, les pillent et en rançonnent les habitants, vident ces maisons et emportent ce qu’ils peuvent. En 1567, les violences recommencent en ville. Le Conseil fait occuper le logis de Nicole Pithou, et sa maison est la première livrée au pillage, puis plusieurs autres. Le 30 mai 1568, ayant eu 2 des leurs tués à Montgueux, les soldats parcourent les rues de Troyes, se saisissent d’un certain nombre de réformés et les conduisent aux prisons royales. Des maisons sont pillées, des hommes et des femmes sont tués puis jetés à l’eau. Non contents de ces meurtres, ces soldats, ivres de sang, se portent aux prisons et tuent 25 hommes et femmes. En juin 1586, « le peuple s’émut ». Henri III envoie à Troyes des commissaires, des huissiers et des sergents pour contraindre chaque corporation à payer 24 écus. Ces personnages mettent une telle exigence qu’ils n’accordent que 48 heures pour payer, sous peine de prison… Le peuple était fort pauvre, la récolte mauvaise, le pain cher, la peste régnait et le travail avait cessé. « Le dimanche après vêpres, le peuple commença à s’assembler devant l’hôtel du Dauphin. A 7 heures, il y avait 800 personnes, tant hommes que femmes et enfants, tous pauvres gens. Malgré l’autorité, la foule s’augmenta, entra dans l’hôtellerie où étaient logés les commissaires, et s’empara de l’un des huissiers. Il fut frappé jusqu’à ce qu’il fit connaître ceux qui les avaient fait venir. Il nomma des huissiers. Chez le premier, la maison fut pillée et les archives du bailliage et présidial furent brûlées ». La force armée, dans la soirée, se rendit maîtresse de l’émeute. La population ne quitta la place que vers minuit. Sous la protection de la justice et de l’échevinage, tout ce personnel fut mis hors la ville. Le lendemain, dès 4 heures du matin, l’émeute recommençait. La foule voulait démolir les maisons de 2 autres huissiers. Les compagnies furent appelées, mais « elles étaient fort froides, ne voulant pas défendre les gabeleurs ». Ces 2 maisons et l’hôtel Chapelaines furent pillées, les meubles enlevés ainsi qu’un grand nombre d’arquebuses, car il y en avait de quoi armer au moins 500 hommes, et des munitions en proportion. La force armée et 200 bourgeois mirent ces émeutiers en déroute. 2 de ces derniers furent tués, 80 furent blessés, dont 30 moururent dans les 48 heures. On fit 32 prisonniers. Le 1er juillet, le chef des émeutiers et sa femme furent pendus avec 2 autres chefs de la sédition. Leurs corps furent ensuite mis aux piliers de la justice, hors de la ville. En août, nouvelle sédition populaire. Plusieurs corporations des plus pauvres, celles des tondeurs, des épingliers, tisserands et teinturiers demandaient « d’ôter les cuisances du pain à la livre », prétendant que ce mode faisait élever le prix des grains. Cette demande leur fut accordée. L’émeute ne prit pas fin de suite. Les séditieux voulaient piller les meilleures maisons. Les unes, parce que le propriétaire achetait les blés en herbe, et les autres, parce qu’elles appartenaient à des « galarniers », (marchands de blé), ayant leurs greniers pleins de blé, et les autres parce qu’elles étaient à des gabeleurs. On demandait la réduction du prix du pain. Le 28, il y eut, au cimetière Notre-Dame, un rassemblement qui fut rompu par le guet. Le 29, une nouvelle bande, formée surtout de savetiers, de maréchaux et d’épingliers, se forma, ayant à sa tête les 5 frères Carré. Elle voulait aller piller. Il y eut de nombreuses arrestations et il fut prononcé des bannissements de la ville et de la province, un certain nombre d’individus quittèrent volontairement la ville. Pour inspirer une certaine terreur, on dressa 3 potences : l’une devant le palais, une autre à l’Etape-au-Vin (place Audiffred), la troisième au Marché-au-Blé (place Jean Jaurès). Le 24 décembre 1588, le roi annonce les 2 assassinats du duc et du cardinal de Guise. Cette nouvelle, répandue le 27, les mutins, c’est-à-dire les ligueurs, prennent les armes, criant qu’il fallait tuer tous les huguenots. En effet, ils tuent, dans sa maison, un apothicaire qualifié d’huguenot, puis le lieutenant du prévôt des maréchaux, politique. La journée de la Saint-Lambert du 17 septembre 1590 « fut la plus considérable de l’année ». Très tôt, une compagnie se présente sous les murs de Troyes, se glisse le long des murailles, pénètre par une brèche et se divise en 2 groupes : l’un près de la porte de Preize, l’autre s’empare de la porte Saint-Jacques. Ces portes sont ouvertes et entrent infanterie et cavalerie. Les uns prennent possession du quartier situé derrière la Cathédrale, de la place Saint-Pierre et de celle du Palais. Les autres tentent de traverser les ponts du ru Cordé pour arriver au Quartier-Haut, où l’on sonne le tocsin. Les habitants courent aux armes et la bataille commence. Une dizaine d’assaillants sont tués aux étuves aux hommes dont le fils du gouverneur de Sedan. Ce coup commence à jeter quelques désordres parmi les envahisseurs. Un échevin se rendant à la cathédrale, témoin, retourne chez lui revêtir sa cuirasse, s’arme et se dirige vers l’évêché en criant aux armes, pour avertir le duc, lorsqu’il est atteint d’un coup de feu et meurt. Un capitaine se dirige vers l’évêché pour s’emparer du duc de Chevreuse. Celui-ci était caché dans l’une des tours ou au trésor de la Cathédrale. Un enfant détourna l’attention en disant qu’il était au jardin de l’évêché. L’armée royale se débande en désordre dans la direction de la porte de Saint-Jacques. Le groupe des envahisseurs, demeurés près de la porte de Preize, prend aussi la fuite par la porte de Saint-Jacques. Le maire et les échevins prennent une large part à la lutte dans l’intérêt de l’Union et contribuent à la retraite forcée des troupes royalistes « henritiquement catholiques ». L’ennemi reconnait alors qu’il lui manque de 500 à 600 soldats et 150 gentilshommes ou officiers. Les ligueurs se portèrent aux prisons. Le geôlier, auteur de pilleries et de malversations, et dont l’Union blâmait les violences et les exactions qui lui auraient fait mériter la mort, ouvre les portes des prisons à ces forcenés qui égorgent 37 détenus royalistes. Leurs cadavres sont traînés dans les rues, « la graisse et le cœur en ont été arrachés ». Plusieurs maisons appartenant à des royaux sont pillées de fond en comble. 13 femmes sont tuées. La subsistance, le blé, le pain, les impôts sont souvent la cause d’émotions populaires d’une très grande gravité, comme en 1600 et 1608. En 1625, de nouveaux troubles sont causés par le manque de blé, par la faim. Dans cette circonstance, 13 individus furent arrêtés, condamnés et pendus dans la même journée. Le 16 septembre, à l’occasion de la sortie de la ville de 5 chars de seigle, il y eut dans le quartier de Comporté « grande clameur, qui bientôt gagna toute la ville ». Le grain fut répandu, puis la foule se porta chez un sieur que l’on croyait le vendeur du grain, qui, de fait, sortait des greniers de l’Hôtel-Dieu-le-Comte. Le 16 avril 1626, l’émotion eut une bien autre gravité, toujours à l’occasion des grains. Des gens des métiers, armés de bâtons se portèrent devant la maison du Maire. « Ils faisaient grand bruit, criaient qu’ils n’avaient ni pain, ni blé, ni farine, que depuis 3 jours ils mouraient de faim et demandaient du pain ou du blé, qu’ils voulaient aujourd’hui vivre ou mourir ». Le corps de ville et la justice, d’accord, promirent de faire la visite des greniers afin de connaître les quantités de blé en ville et en faire mettre en vente à prix raisonnable. « Cette turbe insolente et indiscrète jeta des pierres à ceux qui conseillaient à ces gens affamés de rentrer à leur domicile et les compagnies bourgeoises n’arrivaient point pour réprimer le désordre. Une autre foule se porta dans les greniers d’un sieur et en enleva tous les grains ». Le peuple se jeta ensuite chez un chanoine et y prit tout le blé qui s’y trouvait. Le lendemain, il fut fait de même dans plusieurs autres maisons. Toutes ces maisons furent pillées, démolies et les matériaux enlevés. La foule se porta aussi à l’évêché pour y demander du blé pendant qu’un autre groupe démolissait les greniers d’un sieur Chériot et en emportait les matériaux. Une force armée de 200 personnes, des compagnies bourgeoises, dispersa ces 2 groupes et fit de nombreux prisonniers. Un troisième groupe se porta sur la maison du capitaine d’une compagnie, afin de la piller. Elle fut dispersée, mais une autre se forma et se porta devant les maisons de 2 élus, afin de les piller. Dès le 17, 11 des nombreux prisonniers furent condamnés à être pendus. Cette exécution fut solennelle. Toute la force armée fut mise sur pied, toutes les places furent occupées par des compagnies. Les condamnés, attachés 2 à 2, furent, entre 2 haies, conduits sur la place du Marché au Blé, et exécutés. Le lendemain 18, 2 autres, auteurs de la faction, furent exécutés, et il y eut encore de nombreux prisonniers. En août 1627, avec la défense de sortir des blés, de nouveaux troubles éclatent. Pendant plusieurs nuits « des allumettes à sédition, des gens, enveloppés avec soin dans leurs manteaux, criaient : il faut tuer les gabeleurs » et nommaient avec menaces certains habitants. Le 23 août la population se porte chez le financier du roi et de la ville, chargé de la vente du sel. Cette fois, ce sont les impôts et la crainte fondée de l’élévation du prix du sel qui motivent l’émeute. A 6 heures, il y eut un rassemblement considérable devant la maison du financier. On y remarquait beaucoup d’enfants. On y cria la mise à mort des gabeleurs. A 5 heures, la foule était de 1 200 personnes qui commencèrent à assaillir la maison du traitant à coups de pierres. Le lendemain, vers 7 heures du matin, la rue des Buchettes et la ruelle Daude sont envahies par 1 000 individus et la foule augmente à chaque instant. La foule pénètre dans la maison, brise les meubles et les disperse. Des arrestations ont lieu. Le 27, l’émeute prend un autre motif. Une foule compacte de 400 personnes se forme et prétend que la nuit on avait fait mourir des prisonniers. Elle demande à les voir morts ou vifs. Puis cette foule menace les magistrats et les marchands, en disant qu’ils serviraient de bourreaux contre eux. De l’hôtel de ville, cet attroupement se porte aux prisons, puis devant la maison du maire. Le 20 octobre, une lettre annonce qu’un droit serait levé sur les vendanges à leur entrée en ville, soulève une nouvelle rumeur. En 1628 survient une nouvelle émotion. Des poursuites sont engagées : « 5 hommes sont condamnés à faire amende honorable en l’audience du présidial, en chemise, tête et pieds nus, avec torche de 2 livres de cire à la main, à payer 120 livres d’amende applicable au pain des prisonniers… ils sont en outre bannis du bailliage de Troyes et de la prévôté et vicomté de Paris…». 2 des accusés sont condamnés à mort par défaut. A l’occasion du traité fait avec Berthaut, fermier des impôts à Troyes, le 24 mai 1637, il y eut émeute. Dans la soirée, « un amas d’enfants et de menu peuple » se forma devant la maison du commissaire à cette recette, attaque cette maison, brise les portes et les fenêtres. Le lendemain matin, ce fut le tour du commis à la marque aux toiles. Là aussi, les portes furent brisées. En octobre 1646, à l’occasion d’une nouvelle taxe, il y eut « tumulte et violences ». Les archers tirèrent leurs épées et 5 échevins furent blessés, en voulant empêcher de faire usage de leurs épées. En mai 1647, nouveaux désordres, à cause du séjour en ville de troupes allemandes, irlandaises et autres. Les violences de ces soldats furent graves 3 élèves de l’Oratoire furent gravement blessés de coups d’épée, plusieurs chevaux furent pris, plusieurs bourgeois, rencontrés dans les rues par ces forcenés, furent frappés de coups de bâtons. De 1649 à 1652, les grains manquent. En mai et juin 1649, la population s’émeut à l’occasion de la future mauvaise récolte. En septembre, on craint une émeute en ville, on redoute les incendies. On a coupé les cordes des puits. Une autre fois, on a, pendant la nuit, enlevé les crochets qui servent à puiser l’eau, et, pendant la plus grande partie de l’hiver, la population est sur le qui-vive, à cause du manque de grains et de la cherté du pain. L’année suivante est aussi difficile à passer. En mai, une émeute a lieu. La population se porte devant la maison du maire. Les années 1693 et suivantes furent malheureuses. Les récoltes manquèrent, surtout à cause des pluies persistantes. Le 1er septembre 1693, 200 pauvres armés de pierres de bâtons et même de couteaux se portèrent devant la maison d’un sieur soupçonné de faire un magasin de blé aux environs de la ville et de l’envoyer à l’armée. Le 12, une autre émeute se porte, rue du Paon, à la maison de l’Arche-de-Noé, et voulut faire un mauvais parti à un charretier qui refusait de vendre son grain. Le jeudi 8 avril 1694, à la distribution des aumônes au prieuré de Foicy, il se présenta 400 pauvres. Une femme et 4 filles de 18 ans furent étouffées dans la foule. Le 21 avril, le marché au pain fut pillé et aussi les boutiques des boulangers. L’autorité fit garder les portes, afin d’empêcher les étrangers de venir acheter du blé au marché. Nul ne pouvait en acheter plus d’un boisseau. En 1698 et 1699, la disette se renouvelle ; et pour cette cause il y a de nouvelles émeutes. En 1709, il fallut secourir 500 familles qui s’ameutèrent sur la place de l’Etape-au-Vin. La mortalité fut considérable en 1709 : du 1er au 22 novembre, il décéda 69 pauvres à l’Hôtel-Dieu, et 400 en janvier et février. En 1710, 2 000 habitants sont morts dans la ville et les faubourgs. Les disettes de 1740-1741 sont suivies d’émeutes. 700 ouvriers demandant du pain vont chez le bailli, envahissent des maisons, commettent des vols, violentent des citoyens, il y a même des tentatives d’incendie. Ce fut la ruine d’un grand nombre de familles et d’un appauvrissement général. Il y eut d’autres émeutes semblables en 1767, 1770, 1782. Pour terminer, reportez-vous au terrible assassinat de Claude Huez en 1789.
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