Il est bon de rappeler pour les générations anciennes et futures la vie d’un régiment troyen, le 60° d’Artillerie et proposer aux jeunes l’exemple de leurs aînés.
Troyes abrite en effet le 60° d’Artillerie d’avril 1910 à août 1914.(suite...)
"L'Affaire du collier de la Reine", ce n’est pas Marie-Antoinette, c’est notre auboise Jeanne de Saint-Remy de Valois, comtesse de La Motte."suite..."
Monsieur Lamothe de Celles-sur-Ource, était un marchand de gaufrettes, qui possédait une voiture à chiens pour effectuer ses tournées dans les communes.(suite)
La campagne d’Attila dans les Gaules a causé parmi les populations une impression si profonde, qu’aucune autre invasion n’a laissé de souvenir plus terrifiant ni plus vivace. (suite...)
Vous connaissez et vous avez dû lire dans le chapitre « Saints de l’Aube : Marguerite Bourgeois », et dans celui des « Aubois très célèbres : Chomedey de Maisonneuve ». Les épopées exemplaires de nos 2 compatriotes sont très connues.
Mais, ce que les Aubois ne savent sans doute pas, c’est que cette aventure canadienne est née chez eux, à l’ombre de leurs clochers.(suite...)
Je vais vous conter une manifestation plus bruyante que véritablement dangereuse, organisée à Troyes en 1834, par des réfugiés polonais et qui a mis en émoi la Police, le Parquet, la Préfecture et la Justice.(Suite...)
Savez-vous d’où a été déclenchée la bataille de la Marne ?
De Bar-sur-Aube !
En septembre 1924, le maréchal Joffre inaugure à l’école de garçons de Bar-sur-Aube,
une plaque commémorative de la bataille de la Marne, sur laquelle est gravé le fameux Ordre du Jour...(suite)
J’ai hésité avant de vous transmettre, sans en changer un seul mot, une partie de la " Dissertation sur un ancien usage ", lue dans l’Académie de Troyes, le 28 mai 1743.(Suite...)
Nous sommes en 1250. La Champagne, alors une des plus considérables provinces de France, est dirigée par notre comte Thibaut, non moins célèbre par ses poétiques écrits que par ses vaillants exploits.
Il s’est lié d’amitié avec la reine Alice, souveraine de l’île de Chypre.(suite...)
En septembre 1929, Costes et Bellonte battent le record du monde de distance en ligne droite (Paris-Tsitsihar en Chine), soit 7.950 kilomètres, ce qui est fabuleux à l’époque. (suite...)
De nombreuses croyances sont basées sur des êtres surnaturels, souvent issus
d’un fond légendaire commun, et sont encore bien ancrée dans l’esprit de beaucoup de nos concitoyens. Des fantômes aux
loups-garous, des lutins aux fées. Ces dernières, placées sous l’hérédité de la mythologie celtique, pourraient influer sur notre vie, nous donner ou retirer des dons. Leur baguette
magique n’est qu’une figuration de la quenouille des Parques qui « filaient » notre destin. (suite...)
Lorsque le mariage du dauphin, fils de Louis XV, et père de Louis XVI est annoncé avec Mademoiselle Marie Josèphe de Saxe (née le 4 novembre 1731), fille de Frédéric-Auguste III, roi de Pologne (1733-1763), électeur de Saxe, on fait connaître au Conseil de Ville de Troyes que cette princesse passera à Troyes, en se rendant à Versailles, le 14 janvier 1747.(Suite...)
Gondebaud, fils de Gondioc, roi des Burgondes, égorge Chilpéric son frère et noie la femme de celui-ci en lui attachant une pierre au cou. Il condamne à l'exil ses deux filles : l'aînée, qui prend l'habit, s'appelle Croma, la plus jeune Clotilde (née en 465). Cette dernière, depuis le massacre de sa famille, grandit dans le palais de son oncle Gondebaud. Quoique soumise à une surveillance sévère, elle ne vit pas tellement cachée. Bientôt, sa réputation de beauté et de sagesse se répand au dehors.(Suite...)
"Au nombre des ouvrages remarquables qui sont la gloire de l’art troyen, se dresse, sans conteste, la Belle-Croix de Troyes, en métal doré. La matière qui la composait, la multiplicité des figures de ronde bosse qui l’enrichissaient, sa grande dimension, en font un monument hors ligne, capable de fixer le regard le plus mobile et de frapper l’esprit le plus indifférent ".(Suite...)
Autrefois, Villadin s’appelait " Le Pays des Cruches ", quelques fois des Cruchons.
Pourquoi ? parce que tous ses habitants étaient potiers ! (Suite...)
Voici quelques extrêmement intéressantes et très instructives anecdotes retrouvées d’un témoin qui ne donne pas son nom.
30 novembre 1794 : François-Victor Gachez, ancien maître d’école de la Vacherie, maire sans-culotte de Troyes, homme sans valeur intellectuelle et morale, a été exposé au poteau.(Suite...)
Qui se souvient de notre filleul « L’escorteur rapide Le Champenois » ??(suite)...
Par suite de la sévère censure du moment, cette affaire ne fut pas ébruitée et est restée inconnue de toute la population, sans doute encore aujourd’hui ! Seules, quelques lignes parues dans le numéro du Petit Troyen du 8 octobre 1916, apprennent à la population l’exécution de Malherbe : " Espion fusillé....(suite)
Il se trouve au Musée de la Bonneterie un important document, concernant l’étonnante exposition de 1860 qui regroupa plus de 2.000 exposants, et justifia pendant toute sa durée la publication d’un journal bihebdomadaire illustré de gravures dues au talent de Fichot et de Lancelot et dont les livraisons furent réunies en album.(suite...)
Le 2 mars 1921, alors que de nombreux indices accusaient déjà un abaissement sensible du coût de la vie, la Chambre Syndicale des Fabricants de Bonneterie signait avec les Syndicats ouvriers du Textile une Convention relative au calcul de l’indemnité de cherté de vie.(suite)
Dans le chapitre " visites importantes " j’ai relaté la venue du roi Henri IV à Troyes, le 30 mai 1595.
A ce sujet, je vais vous conter une anecdote, je pense inconnue des Troyens.(suite...)
Je vais vous parler d’un héros Troyen, sans doute ignoré de 99,99 % de nos concitoyens, afin de faire connaître son courage, son intrépidité, son sang-froid, son amour de la Patrie. (Suite...)
Le département de l’Aube souffre beaucoup de l’occupation étrangère en 1814-1815, sur lequel les troupes vivent.
Les épizooties déciment le cheptel, le fourrage, l’avoine manquent, consommés par la cavalerie ennemie, les denrées alimentaires sont très chères. (suite...)
Les juifs ont, au moyen âge, à Troyes, des établissements considérables.
Le commerce important qui se fait dans la capitale de la Champagne y attire cette race financière et marchande, chassée et rappelée tour à tour, suivant que la haine populaire ou l’intérêt pécuniaire des nobles venait à triompher.
Il ne faut pas oublier l’académie juive de Troyes où les études sont florissantes, et la renommée du Rabbin Rachi.(suite...)
Troyes est l’une des 1ères villes de France où s’établissent des cafés.
Le 6 mars 1698, est le jour de l’ouverture de la Foire de Troyes.
Il y a une foule considérable dans le café situé place de l’Etape au Vin (Place Audiffred).
Des tables de bois, des escabeaux de paille et des tasses de faïence, voilà de quoi se compose à peu près le matériel de ce nouvel établissement. (Suite...)
"Rendre les jeunes gens meilleurs et plus heureux, dans l’intérêt de la famille et de la société : tel est le but élevé de nos œuvres. Si elles se multiplient, comme il y a tout lieu de le croire, elles formeront un jour des centres moralisateurs, des foyers de régénération et de vertu pour les classes ouvrières, si dignes de nos affections et de nos soins. (suite...)
La confession publique a des racines très anciennes, puisqu’elle était en usage dans l’Eglise primitive : c’est l’exomolégèse préconisée par saint Ambroise au IV° siècle.
Mais, ce que l’on sait moins, c’est qu’elle avait couramment cours, à titre civil, à Troyes, au XV° siècle, au sein de l’échevinage (le conseil municipal d’alors). (Suite...)
Le 3 février 1814, au lendemain de la bataille de La Rothière, Napoléon, revenant de Brienne, accompagné de son Etat-Major, entre à Troyes par le Labourat et le Faubourg Saint-Jacques. (Suite...)
Napoléon vient de voir défiler les débris noircis et sanglants de sa Grande armée qui bât en retraite.
Descendant la Grande Rue de Troyes, suivi d’un nombreux état-major, il arrive bientôt devant notre Hôtel de Ville, et s’arrête quelques minutes pour lire une dépêche qu’il reçoit d’un fidèle général.(suite)
Alors que les alliés occupent la ville de Troyes et frappent la cité de réquisitions extraordinaires, Napoléon repousse les bataillons autrichiens et wurtembergeois, et s’avance jusqu’au faubourg Saint-Martin.
Les Troyens tremblent, menacés par l’artillerie française.(suite...)
En 1743, un jeune homme pâle vient se présenter aux portes de l’abbaye de Clairvaux.
Ce n’est pas un moindre étonnement pour les religieux qui le reçoivent, quand il leur apprend qu’il vient se faire moine.
Le sourire qui paraît sur leurs lèvres resserre cruellement le cœur du jeune homme. Il n’a pas songé que, pour être admis dans l’ordre, il faut un nom et des richesses.(suite...)
C’est une gravure de 1840 qui immortalise le Père Ninoreille, circulant dans les rues de Troyes, à petite vitesse, un coffret de fer-blanc peint en noir, suspendu au cou de ce petit vieillard, précédé d’un petit épagneul à poil jaune. (suite...)
Parmi les nombreux événements de l’année 1959 qui marqueront dans l’histoire du département de l’Aube, il en est un des plus importants : la « découverte » du pétrole. (suite...)
A Troyes, le samedi 19 octobre 1726, s’élèvent à l’horizon, vers les 7 heures du soir, " de gros nuages de feu, poussés par le vent du midi, vers le septentrion. Ils paraissaient s’entrechoquer d’une manière épouvantable, mais cependant, sans bruit ". (suite...)
Tout au long de ces 4 années, procès politiques et délits de presse sont dans l’Aube, en nombre impressionnant. Pourquoi une répression si sévère ?
Jean-Baptiste Raisin naît à Troyes, le 3 mai 1604.
En 1650, il est organiste de la cathédrale de Troyes, ayant succédé à son père Mille Siret. Il est aussi musicien et compositeur.
En 1651, il est aussi organiste de Saint-Pantaléon. Il compose un recueil de pièces de musique intitulé : « Prières de clavecin »… (suite...)
Les Aubois, en 1893, vivent une époque héroïque, quand on songe aux multiples réquisitions de guerre, auxquelles ils ont fait face. (Suite...)
Voici un fait authentique, extrait des Archives judiciaires du Tribunal civil de Troyes.
Au temps de la féodalité, notre département est parsemé de nombreux châteaux, dont quelques uns ne sont disparus que vers la fin du XIX° siècle.
Cela se passe en 1712. Le château de la Maison des Champs est alors situé à l’extrémité de ce village, à la lisière d’un grand bois. Depuis, une ferme a été construite à son emplacement.(suite...)
En 1911, les vignerons aubois affirment dans la lutte et la révolte, leur ferme volonté d’être considérés comme CHAMPENOIS, refusant d’être une nouvelle fois un enjeu, refusant que l’on décide une nouvelle fois pour eux. (Suite...)
En 1492, Christophe Colomb découvre l’île d’Haïti, d’abord colonisée par les Espagnols. En 1697, la partie occidentale est cédée à la France. L’île connaît dès le début de la colonisation, l’importation de très nombreux esclaves noirs, amenés d’Afrique. Lorsque la Révolution éclate en France, des guerres sociales agitent la population noire de l’île. (suite...)
Si, sur le plan territorial, la commune de Piney peut s’enorgueillir de posséder le plus grand territoire communal du département (7.098 hectares), elle peut aussi revendiquer le fait d’avoir directement contribué à l’établissement du Sénat.(suite...)
Vers 1848, on constate l’existence d’une force extérieure inconnue, qui peut se manifester sur demande. C’est prodigieux. Elle fait tourner les tables et même répond aux questions. Une pratique plus ou moins occulte en découle : le spiritisme, qui connaît alors une période de grande vogue. (Suite...)
Depuis 1891, il y a de plus en plus de voyageurs dans les chemins de fer.
Aussi, vous allez être étonnés de lire quelques extraits de l’article paru dans Le Petit
Troyen du 10 décembre 1901, qui est obligé d’expliquer à ses lecteurs, comment monter dans un train !(suite)...
Voltaire représente au XIX° siècle, la négation des idées dont le catholicisme est l’affirmation.
Mort en 1778, le célèbre écrivain soulève autour de son cercueil « autant d’orages qu’en avaient provoqués ses écrits ».
Le clergé de Paris lui refuse ses prières. Pour ces restes proscrits, la famille cherche un asile, et cet asile est l’abbaye de Scellières, près de Romilly-sur-Seine. Un neveu de l’écrivain, Mignot, abbé commendataire des bénédictins de Scellières, donne l’ordre au prieur de recevoir et d’inhumer Voltaire. (suite...)
Eugène-François Vidocq appartient à l’histoire. Né le 24 juillet 1775, il commet divers larcins lors de son enfance. A 16 ans, il est arrêté et s’engage dans l’armée révolutionnaire. Il se bat à Valmy et à Jemappes, puis déserte l’armée. En 1796, il est condamné à 8 ans de travaux forcés. 8 jours après son arrivée au bagne de Brest, il s’évade. De nouveau arrêté en 1799, il est envoyé au bagne de Toulon, d’où il s’évade en 1800...(suite)
Le capitaine Driant (voir Colonel Driant), dans son livre « La Guerre Fatale », au chapitre du débarquement sur la terre britannique, écrit : « Le sergent Vothelin dépassa son camarade dans un galop furieux… Ah ! non, mon gaillard, après moi s’il vous plait…(suite)