Bonjour Monsieur,
Votre site est une mine d'or pour tous les amoureux du patrimoine troyen.
Je souhaiterais avoir des renseignements sur la demeure au n°26 rue de la Pierre, qui est décorée d'outils d'artisans et de monogrammes MF semble-t-il ? la façade est très jolie mais je ne trouve rien sur ce bâtiment. Le connaissez-vous ?
Je vous remercie par avance
Bien amicalement, Sandrine RABY, native de Troyes, enseignante et photographe amateur de notre belle ville.
Construit à la fin du XVII° siècle par un entrepreneur de maçonnerie, la façade est ornée de sculptures en pierre représentant les outils employés par les ouvriers du bâtiment. Les initiales M.F. reproduites 6 fois, sont celles de l'épouse du constructeur. La maison a une autre façade, avec également des sculptures et initiales, au 29, boulevard Victor Hugo.
Bien amicalement. J.S.
ingén; textile belge, résidant à Gand, je recherche activement un effilocheur de laine (gros pulls de laine).
Vous trouverez tous les renseignements sur leur site Internet : Club Intégral Textile
Tél. : 03.25.71.29.80 J.S.
Je suis enseignante et ma classe de CE2-CM1 va participer, dans le cadre de la protection de l'environnement en partenariat avec la ville de Troyes, au nettoyage du Ru la Fontaine. J'aimerais avoir des informations sur l'histoire de ce Ru si vous en avez. Merci d'avance, cordialement, Anne-Hélène TRINH, école des Blossières
Merci de votre message. Je recherche s'il y a quelque chose pour vous, mais je pense que si cela vous intéresse, je peux vous scanner l'arrêté du maire de Troyes, du 11 août 1853, en raison de la loi de 1803, sur le curage des rus à l'intérieur de Troyes., cela montrerait à vos élèves qu'il y a plus de 200 ans, cela était obligatoire !!
J.S.
Merci de la rapidité de votre réponse.
Oui je veux bien une copie de l'arrêté.
Anne-Hélène TRINH
Je viens de vous adresser les 7 pages du document. Vous intéressent-elles ?
J.S.
Je vous remercie infiniment pour vos documents. C'est un trésor culturel, et je vais faire de mon mieux pour le mettre en valeur dans le projet. Dans le cas d'une éventuelle exposition de la journée de nettoyage, y voyez-vous un inconvénient à ce que je cite votre nom pour vous remercier, et faire allusion à votre blog pour toute l'aide culturelle apportée ?
Anne-Hélène TRINH
Bien entendu, je vous remercie de vos propositions que j'accepte bien volontiers. Je cherche encore des éléments pour le ru en lui-même, et ne manquerai pas de vous tenir au courant. J.S.
Sylvie BEAUGUILLOT
Bonjour et toutes mes félicitations pour votre site si riche et varié. Je me permets une remarque à propos de la papeterie BOLLORE, Guy Capet dans son dernier livre fait la même affirmation: la papeterie aurait fermé en 1963, or mon père y a été embauché en 1960 jusqu'en 1977 date de sa mise en préretraite suite à un plan social (je peux vous fournir sa dernière fiche de paie) et je connais une autre personne plus jeune qui a continué à y travailler plus longtemps. Sincères salutations.
Bonjour. Merci beaucoup de votre message. Je viens de recevoir la réponse de Bolloré.
En effet, l'arrêt de la fabrication du papier est bien en 1963, mais ils ont continué de faire de la pâte à papier jusqu'en 1999. J'ai complété sur le site. Bien cordialement. J.S.
Quel est l'extrait musical qui accompagne la biographie de sainte Jule ?
Merci pour votre réponse. A. Mandleur
La réponse à votre question est : "in memorium a capela"
Musique du film "les choristes". J.S.
Bonjour, Tout d' abord je tiens à vous remercier pour ce merveilleux site qui nous permet de découvrir notre ville. Nous venons d'acquérir une maison dans le bouchon qui visiblement a une histoire. Nous sommes en travaux afin d'y créer des chambres d'hôtes. Elle se trouve au 7, rue Joseph Alexandre Guivet. Elle fut la demeure du Colonel Driant et l'une des premières usine de bonneterie Troyenne. J ai déjà trouvé des informations sur votre site, auriez vous plus de détails, des photos… Je vous remercie par avance de votre réponse. Cordialement. Cécile Barrière
Bonjour,
Merci de votre message. Le nom de Joseph Alexandre Guivet a été donné à la rue, par le Conseil Municipal du 25 novembre 1911.
Joseph Alexandre Guivet est né dans l’Yonne en 1821, décédé à Troyes, 7 rue Guivet, le 30 janvier 1877, à 4 heures du matin et a été déclaré à la mairie à 9 h par Léon, Alexandre, Edmé Couturat, qui vivait avec lui. M. Guivet manufacturier en bonneterie, établit sa firme au 7, avant de la transférer 13 rue Largentier. Son entreprise prit le nom de Couturat et Compagnie, après son décès, puis Société Générale de Bonneterie en 1891. En 1874, M. Guivet a mis au point une machine circulaire à coudre la maille, et en 1875, une machine à coudre de forme rectiligne. Fin 1876, il importe à Troyes, les métiers à bonneterie inventés par William Cotton, d’origine anglaise, et introduits en France à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1867. La rue Guivet s’appelait au XVI° siècle, rue des Cernots, puis rue des Trois-Faulx, et rue du Barbeau. Ces 2 noms étaient empruntés à de grands hôtels qui, ouvrant sur le Marché-au-Blé (Place Jean-Jaurès), avaient par derrière une seconde entrée et de vastes aménagements. En 1769, la rue s’est appelée rue Varveu.
Je vous fait parvenir également la photocopie de la lettre de M . Louis Morin donnant tous les détails au Maire, pour l’appellation de la rue Guivet. Ce courrier n’a jamais été vu par quelqu’un (en dehors de vous) depuis 1911 ! ! !
Pour le Colonel Driant, vous avez les renseignements sur son site.
Sentiments les meilleurs. J.S.
Message: Bonjour,
Retraité, ex-maire et ex-conseiller municipal de Marnay-sur-Seine, je fais des recherches sur ma commune.
Dernièrement en consultant votre site, j'ai eu la surprise d'apprendre que Nicolas Oudiette, aubois, né à Marnay sur Seine, était un rescapé de la retraite de Russie. A partir de quelle archive avez-vous eu connaissance de ces informations ? Existe-t-il un courrier original ou un carnet de Nicolas Oudiette? Si, oui, comment puis-je m'en procurer une copie? Par avance, je vous remercie et vous prie d'agréer Monsieur, mes salutations distinguées.
Christian GUILLARD
Bonjour et merci de votre message. Je n’ai donné qu’un résumé de ce rescapé de la Retraite de Russie. C’est Hachette qui a publié en 1914, le manuscrit original « Mémoires du sergent Bourgogne ». Je puis vous donner quelques détails supplémentaires qui peuvent vous intéresser : « Nicolas Laurent, fils du légitime mariage de Laurent Oudiette, maître de pension et de Marie-Jeanne Bellemère, né le 19 octobre1782, a été baptisé le 22 par nous, Bornand, curé et a eu pour parrain Edmé Nicolas Bellemère et pour marraine Anne Elisabeth Delaunay qui ont tous deux avec nous soussigné ». Le père de Nicolas Laurent, qui vécut de 1762 à 1806, était maître de pension, donc, homme instruit. Ce Laurent était lui-même le fils d’un Laurent Oudiette surnommé « L’Ancien », né à Fontaine-Denis dans la Marne et qui fut entre 1755 et 1765, « recteur des petites écoles » de Marnay. S’il y a encore à Marnay de nombreux Oudiette appartenant à 3 générations différentes, ils descendent d’un frère de Laurent « L’Ancien ». A Marnay, la tradition familiale n’a pas conservé le souvenir du valeureux soldat de la Grande Armée. La sœur de Nicolas, Louise Pauline, née en 1792, épousa en 1819 un certain Gariusson, capitaine en retraite, né à Pont-sur-Seine en 1769. Quant au dernier né, Emmanuel, il devint maire de Marnay, de 1860 à 1870 et n’eut qu’une fille qui se maria en 1856. Je reste à votre disposition pour tous autres renseignements. Sentiments les meilleurs. JS
Heureuse surprise de trouver mention de l'escorteur rapide Le Champenois. Je suis venu défiler à Troyes le 11 novembre 1968. Excellent souvenir de l'accueil qui nous fut réservé. Quand êtes-vous venus baptiser les affuts ? Je me demande où au Havre ? Lors d'une escale un visiteur nous fit la remarque d'une erreur, l'affut 2 portait la plaque "avant" de Passe Avant le meilleur. Cet affut en surplomb de la plage arrière n'était pas situé à l'avant pour cet observateur averti. Encore merci de cette belle escale à Troyes.
Je suis allé baptiser les affuts en octobre 1968, au Havre, vous me voyez sur les 2° et 3° photos, et un de mes fils en 1972 a participé quelques jours à la vie de bord. Comme vous n’avez pas mis votre adresse internet, je ne peux vous répondre directement. Sentiments les meilleurs.
J.S.
Monsieur, Pardonnez-moi de vous déranger à nouveau. Pouvez-vous me confirmer l'adresse de la maison-mère des usines L. Devanlay-Lacoste, dans l'entre-deux-guerres (en 1931), dirigées par le trio P. Lévy-frères Maus ? Je lis qu'elles étaient en centre-ville, or je ne trouve que le 19 bis rue des Gayettes, qui est assez excentré et semble très moderne.
Pourriez-vous confirmer ? Par avance, un grand merci. Cordiales salutations, --Cécile Desprairies
Madame, cette bonneterie se tenait à l’angle de la rue Charles Delaunay et de la rue de Preize, puis rue Jeanne d'Arc. Bien cordialement. J.S.
Bonjour Monsieur. Je viens de trouver sur votre site l'article concernant le condamné à mort DUPUIS de Villeret. Natif de Villeret, j'aimerais en savoir un peu plus sur ce Dupuis.
J'ai retrouvé son acte de décès dans le registre d'état civil de Troyes et sa transcription dans celui de la commune de Villeret, ainsi que l'acte de décès de sa femme Marie Anne Guillemin. Je vais rechercher tous documents de justice ou autre pour éventuellement retracer la vie de ce personnage. Pourriez-vous, si possible, me donner quelques précisions sur l'origine de ce témoignage et sur l'identité du témoin de l'époque. Je vous remercie par avance de l'attention que vous voudrez bien porter à ma demande. Cordiales salutations.
Alain Villetorte
Bonjour et merci de votre message. Le document que je possède se compose de 4 feuillets 21 x 27, tapés à la machine, et d’après le papier et la machine à écrire, il doit dater de 1920/1930. Le titre exact est : « Jugement de la Cour d’Assises de l’Aube qui condamne à la peine de mort le nommé DUPUIS, atteint et convaincu d’avoir noyé sa femme ». Rien d’autre. J’ai trouvé ces feuillets il y a je pense 5 ou 6 ans, avec d’autres documents anciens sur Troyes. Cordialement. J.S.
Bonsoir, Merci beaucoup pour votre réponse rapide. J'ai trouvé aux Archives, cet après-midi, le jugement qui n'apporte pas beaucoup de précisions, mais pas le dossier d'accusation. Bien cordialement. Alain Villetorte
Bonjour monsieur, je possède une CPA intitulée "les muses élues par les déléguées des corporations". Cette carte que nous avons pu avec des amis localiser Troyes semble faire partie d'une série. Pouvez-vous me donner des informations sur ces muses ?? Je vous en remercie.
Danielle Lacroix
Bonjour et merci de votre message. En 1909, la fête de la bonneterie innove par rapport au passé, en procédant à l’élection d’une Reine de la bonneterie. Les fabricants font savoir qu’ils veulent doter leur industrie d’une « Muse », figure allégorique du XIX° siècle, souvent évoquée pour présider aux arts libéraux et à la poésie. L’élection de la première Reine de la bonneterie fut un événement. La vote a eu lieu dans les ateliers féminins, groupés par métiers. Je reste à votre disposition pour d’autres renseignements. Sentiments les meilleurs. J.S.
Si votre CPA est de 1909, le nom de la " Muse" est Renée Kuntz qui travaillait comme
raccoutreuse aux Ets Desgrez.
Message: Bonjour,
Je suis en possession d'un tableau peint par "Charles des Guerrois" si j'en crois l'inscription au dos de cette peinture : "Portrait peint par Charles Des Guerrois : Me Valtan De Delphine Machet née à Troyes en 18 et morte à Troyes. Son frère était un saint prêtre attaché à une petite cure près de Bar-le-Duc. Je cherche à savoir qui était cette femme mais également si cette peinture à réellement été peinte par Charles des Guerrois ! Il n'est fait aucune référence à ce talent dans ce que j'ai pu lire sur lui... C'est pourquoi je me permets de vous écrire afin que vous puissiez éventuellement m’éclairer. Egalement, si vous le désirez, je pourrais vous faire parvenir par mail une photo de ce tableau. Merci de votre attention. Je vous souhaite un bon dimanche. Cordialement
Pascal LEBRUN
Bonjour,
Merci de votre message.
Ce qui a été écrit de plus ancien sur Charles des Guerrois, date de 1916, année de son décès, et en dernier, en 2009. Et, on ne lit au point de vue tableaux, juste qu'il " a légué ses tableaux et objets d'art, pour être placés au Musée ! ". "Lot estimé à 5.000 F par le notaire, comprenant une cinquantaine de pièces d'inégale valeur : peintures dur bois, sur toile, sur cuivre, aquarelles, un carton de gravures...".
Aucune phrase ne parle de lui en tant que peintre !
Si je trouvais un jour quelque chose à ce sujet, je ne manquerais pas de vous le faire savoir.
Sentiments les meilleurs. J.S.
Bonsoir,
Dans vos archives avez vous l’origine du boulet de canon en pierre qui est cimenté dans le bas d’une fenêtre de l’église St Pantaléon (coté gauche). Je ne l’avais jamais remarqué jusqu’à ce qu’un guide troyen ne le montre pendant une visite en disant qu’il se pourrait que ce soit un boulet tiré par les armées de Charles Quint... Amicalement. MTh Mangin
Bonjour,
Votre question va me permettre de compléter le chapitre sur cette église, que j'avais fait trop brièvement. En 1523, l'église s'agrandit. Jean Dorigny, Jean et Claude Molé donnent les terrains nécessaires à son extension. Les Molé achètent dans ce but, l'emplacement d'un jeu de boules, et le maçon en a conservé le souvenir en sculptant sur les murs de l'église quelques boules de pierre. Aujourd’hui, on en voit en effet encore une dans la petite rue du Marché-aux-Noix. Un historien a dit que c'est une fantaisie de l'artiste. Quelle guide vous a parlé de boulet de canon, que je puisse lui donner l'information ? Bien amicalement. J.S.
Bonjour, Je cherche à me remémorer ce qui était à la place du Bistroquet place Langevin.
Il existe depuis 1992. Il me semble qu'il y avait un cinéma ou une salle à cet endroit. Avez-vous cette information ? Merci d'avance pour votre aide. Merci pour vos recherches qui sont précieuses pour connaître notre ville. Bien cordialement. Laurence
Merci de votre message.
En 1945, à la place du Bistroquet, M. Robert Saucourt-Harmel avait ouvert rue Louis Ulbach, une salle de 719 places : "Le Normandie", reprise par le Cinéma "Le Paris" rue Emile Zola, sous le nom de "Le Français". Sur le site, vous cliquez sur " La vie à Troyes ", puis sur " Cinémas ". Sentiments les meilleurs. J.S.
Message: Bjr et bravo pour ces belles pages.
Je m'interesse à Alfred Droin qui épousa Mme Beer.
En fait je suis le descendant du peintre Antonio de la Gandara et je recherche les 3 portraits dont 2 grandeurs nature que l'artiste fit de Mme Guillaume Beer. Existe-t-il des descendants d'Alfred Droin qui pourraient avoir ces oeuvres dans leur collection.
Cordialement. XM
Merci de votre message. Malheureusement, je n'ai retrouvé que les portraits que j'ai mis sur mon site. Il y a 3 Droin dans l'Aube, je n'ai pu les joindre au tél. Ils sont peut-être de la même famille qu'Alfred Droin.
Je reste à votre disposition.
Je vous remercie d'avoir répondu aussi rapidement à mon appel, je suis heureuse de recevoir bientôt cette affiche.
Mais ce que je recherchais avant tout était une représentation de cette rue dans les années 60 date à laquelle j'y
habitais, en cherchant sur internet j'en ai vu qu'une seule que vous avez probablement déposé puisqu'il y a vos coordonnées, elle est représentée vue du haut malheureusement
j'habitais au N° 16 donc dans le bas, c'est pile poil à l'endroit ou à été prise la photos de l'affiche.
Ce qui m'étonne c'est que je trouves beaucoup de rues qui sont représentées de nombreuses fois et impossible de
retrouver celle-ci, je pense tout de même qu'elle doit se trouver quelque dans des archives
Dites-moi si je faisais le voyage un jour de Marseille est-ce que j'aurais la possibilité de faire des recherches par moi même, si oui dites moi ou je pourrais m'adresser, excusez encore du dérangement mais c'est tellement très important pour moi et mon petit frère, quelque soit votre réponse je vous en remercie d'avance, bonne journée.
Nelly Torelli
Cher Monsieur SCHWEITZER bonsoir,
Je recherche à nouveau quelque chose d'un peu particulier sur Troyes. Il y a eu semble-t-il un vélodrome à Troyes, pas loin de l'école Paul Bert ou peut-être même là où se trouve l'école Paul Bert depuis de longues dizaines d'années. J'ai consulté, bien sûr, votre page sportive, mais n'ai pas trouvé l'information. Se souvient-on encore à Troyes de plus de détails sur un tel passé sportif différent du football?
Cordialement. François Comparot
Bonjour et merci de poser une question dont la réponse est dans le chapitre : « Vie à Troyes – Loisirs ».
Peu après l’apparition de la première bicyclette, des associations accueillent à Troyes les amateurs : le Vélo club troyen, la Pédale troyenne, l’Etoile sportive troyenne. En 1893, la ville construit (à l’emplacement de l’école Paul Bert actuelle) le vélodrome de Croncels (démoli en 1932), avec sa piste de bois, organisant chaque week-end, des compétitions locales, nationales, même internationales. Un public important se presse pour acclamer les champions. Vers 1920 est construit le Vélodrome de Champagne au Labourat. J.S.
I am wondering who made the statue "Avant Le Combat" shown toward the bottom of the page in the link I am sending from your web site and when. Is a one of one or many produced. Thank you!!!
http://www.jschweitzer.fr/autres-c%C3%A9l%C3%A9brit%C3%A9s/ernest-legrand/
Merci de votre message. La statue, comme toutes celles figurant dans ce chapitre, sont bien d'Ernest Legrand. Sentiments les meilleurs. J.S.
Merci beaucoup! Quand était-ce fait? Est unique ou y at-il autant
d'exemplaires? Merci pour votre temps !! Cordialement,
John Brandt.
La statue est de 1906, il n’y a pas d’autre exemplaire. La photo fait partie des photos prises à l'atelier Legrand. J.S.
Merci à tous
pour votre aide et informations !! Bonne journée !!
Jean
François C. Moenchengladbach (Allemagne)
J'ai une question concrète : l'once d'or fin est internationalement appelée TROY du rayonnement commercial de notre ville, bien sûr ! En savons nous plus sur ce sujet ? Y-avait-il d'autres alternatives / candidats à une telle "distinction" ? Pourquoi le Troy s'est-il imposé, jusqu'à nos jours, et les autres non ? Je possède un très vieux livre de 520 pages, paru en Belgique en 1845, qui traite des poids et mesures, mais je n'ai rien découvert concernant le TROY.
L’unité de poids adoptée en Angleterre pour les transactions sur les métaux précieux est l’once Troy, dérivée de la livre Troy, désignée également sous le nom « imperial troi pound ». Elle est d’un poids de 373 grammes 2419. Cette identité de poids est identique à celle employée aux Foires de Troyes, qui était celle de Florence, l’ancienne livre romaine, et une once Troy vaut une once française plus 10 grains. Ainsi, la livre Troy vaudrait 373 gr 5024, ce qui est un accord parfait. Il y a donc identité absolue entre la livre monétaire Troy des foires de Troyes et la livre impériale anglaise Troy. Etes-vous satisfait de ma réponse ?
Auriez vous dans vos connaissances, ceci ?
Aucune liste nominative n’existe pour ces « médailles ». A dater de 1771 (et en principe jusqu’à la Révolution), comme il y avait beaucoup de gens désoeuvrés et qui mouraient de faim, on établit des travaux de charité où les ouvriers étaient payés chaque jour… La ville avait fait frapper des morceaux de cuivre pour donner aux ouvriers au fur et à mesure qu’ils travaillaient et, en fin de la journée, ils rapportaient leur morceau et on les payait en argent.
Merci pour vos précisions. Je vous joins deux photos, avers et revers, de la médaille en question.
A.M
Bonjour, merci pour votre site. Quel régal!
Auriez vous des informations sur l'abbaye complètement détruite qui se trouvait sur la voie des actuelles Viennes? Son nom d'abord, et puis d'autres choses éventuellement.
Merci de votre message. Je pense que vous voulez parler de l’abbaye de la Prée, ou des Prés, ou du Pré Notre-Dame, installée lors de sa fondation vers 1231, dans les marais de Chicherey. C’est un des rares monastères de femmes de notre diocèse. Abbaye cistercienne, elle dépendait de saint Bernard de Clairvaux. Elle était très estimée à son époque, car la mère de notre concitoyen le pape Urbain IV y était religieuse, et y fut inhumée par les soins de son fils. Urbain IV en 1263 fonda un anniversaire pour lui-même à Notre-Dame des Prés et, l’année suivante, lui faisait don de 5.000 florins pour aider à la reconstruction de l’église. Le comte Thibaud V, cher au pape troyen, ne pouvait être moins généreux. Il lui fit, en avril 1270, diverses largesses et fonda également un anniversaire dont sa mort, quelques mois plus tard (décembre 1270), devait le faire bénéficier. En 1790, il y avait 11 religieuses à Notre-Dame-des-Prés. En mars-juin 1791, ce fut la vente du mobilier de l’abbaye, puis sa démolition. J.S.
Un grand merci à vous pour ces précisions sur cette ancienne abbaye "des Viennes"
Marie-Noëlle Clément
Je travaille actuellement sur un ouvrage d'archives retraçant l'évolution des rues Troyennes et de ses magasins de 1980 à 2000. Il s'agit d'un travail à base d'archives photographiques, et pour cela je recherche des photos couleur des rues de Troyes durant ces 20 années. Aux archives municipales, on m'a dit qu'il serait possible que vous ayez des clichés se rapportant à ce que je recherche, ce pourquoi je vous écris aujourd'hui. Et peut-être aurez-vous des personnes à me recommander auprès desquelles je pourrais aussi exposer ma demande?
Nicolas Favre
Je pense que vous trouverez ce que vous cherchez à l'Académie Troyenne d'études Cartophiles de Troyes, ou à l'Association-Club Cartophilie de Troyes. J.S.
J'ai contacté la personne dont vous m'avez envoyé les coordonnées, et qui a plusieurs blogs sur
Troyes, très sympathique il m'a dit que ma requête était difficile à satisfaire car il y a peu - ou pas - de collectionneurs pour ces années là, trop récentes. Mais il m'a proposé de
chercher un peu et si il trouve des choses il me le fera savoir. Merci à vous en tous cas !
Bonjour Monsieur,
Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je suis la Présidente de l'Association Mémoire de Saint Pouange. Je recherche qu'elle était la fonction des hôtels du CHAUDRON à Troyes… je n'ai pas le temps avant Avril d'aller à la Médiathèque. Si vous aviez la réponse cela me rendrait bien service.
Merci d'avance. Sincères Salutations. Pontarollo Nicole
Bonsoir, vous trouverez ci-dessous les renseignements demandés !
Trois immeubles ont porté l’enseigne du « Chaudron ». L’un était situé 5, place du Marché au Blé (place Jean Jaurès) ; le second, entre la Grande Rue et le rue Moyenne, dans l’ancienne propriété Dalbanne, 21 rue Georges Clemenceau et 16, place de la Libération (aujourd’hui, BPC), dénommée ainsi, entre 1662 et 1689. Le troisième, 26 rue Saint Loup (aujourd’hui Chrétien de Troyes), où se trouve la direction des Musées. En 1655, cette rue s’appelle : rue du Chaudron, qui est l’enseigne d’une hôtellerie située à droite du couvent, et dont celui-ci fit l’acquisition cette année-là. Marguerite Bourgeois essaya d’établir une petite communauté, entre 1639 et 1683, sans y réussir, à l’Hôtel du Chaudron, mais lequel ?
Sentiments les meilleurs.
J.S
Bonjour, je vous remercie de votre réponse, ces Hôtels du Chaudron était-ce réellement des Hôtels, ou des maisons ouvertes aux Pélerins et
aux Pauvres ?
Salutations Sincères
Nicole Pontarollo
Les 3 hôtels du Chaudron étaient des maisons appartenant à des particuliers. L'hôtel du Chaudron où habitait Marguerite Bourgeois, était un hôtel particulier, "vaste demeure " Il n'y a plus "d'écrits autographes". Le propriétaire était Melle de Chevilly, soeur de Paul de Chomedey de Maisonneuve. Le Chaudron de la Grande rue, appartenait à la fabrique de Saint-Urbain. Celui de la place du Marché au Blé a appartenu à l'office des vicaires de la cathédrale. Il y a donc bien eu à Troyes 3 hôtels du Chaudron, mais certainement successivement et non simultanément.
Cordialement.
J.S
Message: Bonjour,
S'il vous plaît me où l'original de ce portrait Pierre Edmé Gautherin dire? Conservé copie couleur d'un portrait du général? Je serais reconnaissant pour toute aide.
Cordialement,
Alexey Kuzmin
Bonjour,
Je vous confirme que la gravure en noir est bien à la Médiathèque du Grand Troyes.
Sentiments les meilleurs
J.S
Céline Lanier. Monsieur,
D'abord félicitations pour ce site très intéressant. Je cherche des informations sur le village de Pel et Der. Il existe des infos éparses mais pas facile de recréer une histoire plus longue…
Voici quelques renseignements que je peux vous fournir.
Au XV° siècle avant Jésus-Christ, la Gaule est habitée par 4 peuples différents, dont les Celtes, nommés Gall par les Romains, venant des régions septentrionales de l’Asie. Ils occupent les régions arrosées par la Seine et par l’Aube, à l’ouest de la grande forêt appelée Der. A l’origine, la partie crayeuse servant de limite aux contrées jurassiques et montagneuses sera appelée plus tard la Champagne. La grande forêt, servant de limite à l’une et à l’autre devient le pays ou contrée de Der. Le Der, Dervus, Dervensis, doit son nom aux profondes forêts de chênes qui couvraient la formation des grès verts. Aujourd’hui encore, La Villeneuve-au-Chêne et 6 autres villages voisins ont leur Der qui n’est autre qu’une parcelle de l’ancienne forêt dans laquelle chaque communauté d’habitants exerçait ses droits d’usage. Un des capitulaires de Charlemagne en 794, ordonne la destruction des arbres et des bois sacrés où le culte des druides s’est conservé. De cette époque datent les premiers coups de hache donnés dans l’antique forêt du Der. Cette œuvre appartient surtout aux monastères qui plantèrent la croix sur l’emplacement de ces forêts et ouvrirent ainsi les communications entre le pays de Troyes et celui de Langres. L’abbaye de Montiéramey revendique l’honneur de ce premier défrichement. Saint Epevre (Aper), né à Trancault a vécu au X° siècle à Montier-en-Der. En 837, au temps du comte de Troyes Aledran et sous l’épiscopat d’Adalbert évêque de Troyes, le moine Adrémar planta la croix sur un monticule placé au bord de la Barse et dans la forêt de Der. Aledran donne aux religieux la place du couvent et une grande superficie dans la forêt de Der. C’est à l’établissement de l’abbaye de Monriéramey et aux défrichements qui s’ensuivirent, que l’on doit l’ouverture de la forêt de Der dans la direction de Vendeuvre. Saint Epevre (Aper), né à Trancault a vécu au X° siècle à Montier-en-Der. En 857, Auzon est confirmé à l’abbaye de Montier-en-Der. En 864, Charles le Chauve, confirme une donation faite par Odon aux religieux de Monriéramey qui avaient demandé à faire « essarter » la forêt de Der, afin d’y établir une église près de la Barse et de mettre en culture quelques parties de cette forêt. Adson abbé du Der en 968, va en Terre Sainte en 992. En 1137, l’abbaye de la Rivour s’éleva sur un fond de terre nommé Buxei (lieu bas et humide) appartenant à l’abbaye Saint-Loup de Troyes, à l’ouest de la forêt du Der. L’abbaye devint un riche monastère. Le premier abbé Alain, choisi par Saint-Bernard parmi ses religieux de Clairvaux devint évêque d’Auxerre en 1154. Six ans après, se dresse au levant de cette forêt d’Orient, l’abbaye de Bassefontaine. Ces 3 abbayes continuèrent les défrichement de la forêt du Der commencés par celle de Montiéramey et si largement continués par les Templiers au siècle suivant. Montier dérive du latin monasterium.
Je vous remercie pour cette réponse et le temps que vous y avez pris. Tout ce que vous indiquez est très intéressant. J'ai découvert hier l'analyse du cartulaire de Bouranton faite par l'abbé Laloche et j'ai lu aussi le catalogue d'actes des comtes de Brienne de 950 à 1356. Si jamais vous possédez d'autres informations sur Pel et Der je suis pleinement preneuse. Poursuivez votre site c'est très intéressant.
Bien cordialement
Un ancien du quartier Saint-Nicolas m'a relaté l’existence ''d'éventuels'' cours d'eau similaires à ceux de l'ancien quartier du Gros Raisin, situés entre les rues Huguier Truelle, de la Pierre, Viardun et Turenne. Sur aucuns anciens plans je n'ai trouvé mention de ces ruisseaux. Avez-vous des précisions à ce sujet?
Y.C
En 1806, la mairie choisit l’intérieur d’un souterrain de la Tour-Boileau pour y établir un puits artésien. En juillet, on atteint à 25 m 65 de profondeur, une première nappe d’eau, mais pas assez ascendante. Le 15 août on trouve à 54 m 72de profondeur, une nappe d’eau artésienne, qui jaillit dans la Tour-Boileau à la hauteur de 3 mètres, d’une excellente qualité. Le moteur serait, selon le projet, un moulin à vent dans le genre hollandais. Mais ce dernier n’est pas établi, En 1829, la mairie est favorable au forage de puits artésiens, aussi bien dans le département, que dans Troyes. En mai 1830, on parvient à plus de 412 pieds, lorsque des éboulements viennent boucher l’orifice du puits, ce qui décourage les opérateurs. En 1852, le docteur Carteron nie l’existence d’un cours d’eau souterrain assez puissant et assez fort pour déterminer un jaillissement artésien sur le sol de Troyes, et tout est annulé. Le puits artésien a suscité bien des espoirs, mais est vite tombé en désuétude, car il n’y avait pas de cours d’eau dans le sous-sol, et c’est pourquoi vous n’avez pas trouvé de mention à ce sujet !
J.S
Pour la Rue Emile Zola je n'ai pas moins de 14 noms différents. Par contre je n'ai aucune chronologie de l’attribution de ces noms. Avez des précisions à ce sujet?
Y.C
Lorsque le Conseil municipal de Troyes donne le nom d’Emile Zola à une rue, celle-ci était en 4 parties : la rue du Marché-aux-Oignons, de l’Epicerie, de la Fanerie et de Notre-Dame proprement dite (pour l’abbaye de Notre-Dame aux Nonnains Place de la Préfecture).
- la rue Notre-Dame entre la Place de la Libération et la rue Raymond Poincaré,
- entre la rue R. Poincaré et la rue G. Saussier : en 1332 appelée rue du Foin (marché au foin), en 1550 de la Fanerie et avant de la Clef d’or
- entre la rue G. Saussier et la rue de la Trinité : rue de l’Epicerie, une des plus ancienne de Troyes (où étaient vendues les épices, lors des Foires de Champagne),
- rue du Marché-aux-Oignons : s’était appelée successivement rue de la Friperie, de la Draperie, de la Ganterie, de la Chaussetterie et en 1550, de la Clef d’argent (nom d’un grand hôtel), en 1563, de la Savaterie.
Le nom de rue Notre-Dame a été donné le 12 août 1851, et celui d’Emile Zola, le 25 juin 1904.
Sentiments les meilleurs.
J.S
Bonsoir, je m'appelle Riglet Sébastien et j'ai fait des recherches sur un de mes ancêtres Nicolas Riglet. Pourriez-vous m'en dire davantage ?
Bonjour,
Vous avez en effet 2 ancêtres célèbres, qui furent maires de Troyes : Nicolas Riglet, écuyer, seigneur de Montgueux, maire du 11 juin 1544 au 11 juin 1546.
Moyse Riglet, écuyer, seigneur de Montgueux, du 11 juin 1626 au 11 juin 1628.
C’est grâce à l’opiniâtreté de Nicolas Riglet que Troyes s’est fortifiée, que la ville est mise dans un état de défense qui ne s’est pas encore vu, et que les frais ont été pris en charge par le roi François 1er qui a mis « tous ses soins à la fortifier ».
J’espère avoir répondu à votre question.
J.S
Je vous remercie de votre réponse aussi rapide. Savez-vous s’il est possible de récupérer les titres de noblesse de mes ancêtres ? N’avaient-ils pas d’autre seigneurie ? Où puis-je trouver un arbre généalogique de ma famille dont je suis fier ? Sinon je vous souhaite de passer un bon réveillon de la Saint Sylvestre.
En ouverture de votre beau site sur votre ville « Troyes d’hier et d’aujourd’hui » se voit un grand portrait de Monseigneur de Pélacot où le nom du peintre n'est pas mentionné. Ce n'est pas normal. Diogène Maillart (1840-1926) en est l'auteur, comme cela est su à Troyes, Premier grand Prix de Rome de Peinture sous Napoléon III. Espérant pour la mémoire du peintre et l’intérêt de l’œuvre que ceci pourra être mis à jour, je vous adresse, Monsieur, mes respectueuses salutations.
Béatrice Aubin Diximus née Maillart
Merci de votre message. J'ai pris bonne note de votre information, et vous pouvez lire que j'ai donné le nom de votre ancêtre comme peintre de Mgr de Pélacot, et même ajouté son buste ! Avec l'assurance de mes sentiments les meilleurs.
J.S
Existait-il une fête de l’âne à Troyes ?
Jean M.
Il existait bien en plus de la fête des Fous, et de celles des Innocents, la fête de l'âne. Cette dernière était moins scandaleuse que les deux premières, mais n'en restait pas moins choquante. Au lieu de l'Ite missa est, un diacre imitait les braiments d'un âne, en mémoire de la fuite en Egypte.
J.S.
J'aurais dû vous remercier depuis longtemps. Mon frère, décédé l'an dernier, avait chanté cet âne sous la férule de M. Samson. Je crois bien que la maîtrise de la cathédrale n'est plus aujourd'hui qu'un beau souvenir...dont l'histoire devrait être écrite.
EMJ
Ce portrait a été édité par l'éditeur CAFFE, qui depuis 1870, éditait chaque année, le calendrier des hommes célèbres de Troyes, avec 2 personnages chaque année.
Celui qui vous intéresse, est à la Médiathèque de Troyes, " Réf. Cabinet local 2419 ".
Heureux si cela vous convient.
J.S
Bonjour. J'ai une question toute particulière et qui me tient à coeur :
Est-ce que le terme "visage troyen" vous dit quelque chose ? "visage" ou autre terme approchant.
En effet, dans une correspondance datant de 1832, et qui m'a été transcrite (pas d'originaux sous la main) un de mes ancêtres écrivait ceci : « je te dirai, mon cher camarade, que je remettrai mardi prochain 27 du courant deux paniers à la diligence, celui des deux qui sera dessus et qui t’est adressé, tu en fera l’ouverture et tu y trouveras un visage troyen tout entier que tu t’adjugeras, plus tu y trouveras un demi-visage destiné à Sophie que Charles prendra chez toi le 31 de ce mois .J'ai eu beau chercher, je n'ai rien trouvé concernant ce fameux visage. Je m'adresse donc tout naturellement à vous en espérant y trouver la clé de mon énigme.
Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ce message.
Catherine Faton
Réponse:
Bonjour et merci de votre message. En principe, le « visage tout entier », est un jambon (voyez dans le chapitre « Troyes précurseur », le sous chapitre « Premiers charcutiers du monde »), et pour Sophie, un ½ jambon, mais peut aussi désigner des langues de moutons.
Le terme « Visages de Troyes » a été ensuite pris au sens propre par l’Abbé Ledit, qui a écrit entre 1948 et 1980, une trentaine de petits fascicules.
J.S