Place de la libération

Questions / réponses :

Bonjour Monsieur,

Votre site est une mine d'or pour tous les amoureux du patrimoine troyen.

Je souhaiterais avoir des renseignements sur la demeure au n°26 rue de la Pierre, qui est décorée d'outils d'artisans et de monogrammes MF semble-t-il ? la façade est très jolie mais je ne trouve rien sur ce bâtiment. Le connaissez-vous ?

Je vous remercie par avance

Bien amicalement, Sandrine RABY, native de Troyes, enseignante et photographe amateur de notre belle ville.

 

Construit à la fin du XVII° siècle par un entrepreneur de maçonnerie, la façade est ornée de sculptures en pierre représentant les outils employés par les ouvriers du bâtiment. Les initiales M.F.  reproduites 6 fois, sont celles de l'épouse du constructeur. La maison a une autre façade, avec également des sculptures et initiales, au 29, boulevard Victor Hugo.

Bien amicalement. J.S. 

ingén; textile belge, résidant à Gand, je recherche activement un effilocheur de laine (gros pulls de laine).

 

 Vous trouverez tous les renseignements sur leur site  Internet : Club Intégral Textile

Tél. : 03.25.71.29.80 J.S.


Je suis enseignante et ma classe de CE2-CM1 va participer, dans le cadre de la protection de l'environnement en partenariat avec la ville de Troyes, au nettoyage du Ru la Fontaine. J'aimerais avoir des informations sur l'histoire de ce Ru si vous en avez. Merci d'avance, cordialement, Anne-Hélène TRINH, école des Blossières

Merci de votre message. Je recherche s'il y a quelque chose pour vous, mais je pense que si cela vous intéresse, je peux vous scanner l'arrêté du maire de Troyes, du 11 août 1853, en raison de la loi de 1803, sur le curage des rus à l'intérieur de Troyes., cela montrerait à vos élèves qu'il y a plus de 200 ans, cela était obligatoire !!

J.S.

Merci de la rapidité de votre réponse.

Oui je veux bien une copie de l'arrêté.

Anne-Hélène TRINH

Je viens de vous adresser les 7 pages du document. Vous intéressent-elles ?

J.S.

Je vous remercie infiniment pour vos documents. C'est un trésor culturel, et je vais faire de mon mieux pour le mettre en valeur dans le projet. Dans le cas d'une éventuelle exposition de la journée de nettoyage, y voyez-vous un inconvénient à ce que je cite votre nom pour vous remercier, et faire allusion à votre blog pour toute l'aide culturelle apportée ?

Anne-Hélène TRINH

Bien entendu, je vous remercie de vos propositions que j'accepte bien volontiers. Je cherche encore des éléments pour le ru en lui-même, et ne manquerai pas de vous tenir au courant. J.S. 

 


Sylvie BEAUGUILLOT

Bonjour et toutes mes félicitations pour votre site si riche et varié. Je me permets une remarque à propos de la papeterie BOLLORE, Guy Capet dans son dernier livre fait la même affirmation: la papeterie aurait fermé en 1963, or mon père y a été embauché en 1960 jusqu'en 1977 date de sa mise en préretraite suite à un plan social (je peux vous fournir sa dernière fiche de paie) et je connais une autre personne plus jeune qui a continué à y travailler plus longtemps. Sincères salutations.


Bonjour. Merci beaucoup de votre message. Je viens de recevoir la réponse de Bolloré. 

En effet, l'arrêt de la fabrication du papier est bien en 1963, mais ils ont continué de faire de la pâte à papier jusqu'en 1999. J'ai complété sur le site. Bien cordialement. J.S.


Quel est l'extrait musical qui accompagne la biographie de sainte Jule ?

Merci pour votre réponse. A. Mandleur

 

La réponse à votre question est :   "in memorium a capela"

Musique du film "les choristes". J.S. 


Colonel DRIANT
Colonel DRIANT

Bonjour, Tout d' abord je tiens à vous remercier pour ce merveilleux site qui nous permet de découvrir notre ville. Nous venons d'acquérir une maison dans le bouchon qui visiblement a une histoire. Nous sommes en travaux afin d'y créer des chambres d'hôtes. Elle se trouve au 7, rue Joseph Alexandre Guivet. Elle fut la demeure du Colonel Driant et l'une des premières usine de bonneterie Troyenne. J ai déjà trouvé des informations sur votre site, auriez vous plus de détails, des photos… Je vous remercie par avance de votre réponse. Cordialement. Cécile Barrière

Bonjour,

Merci de votre message. Le nom de Joseph Alexandre Guivet a été donné à la rue, par le Conseil Municipal du 25 novembre 1911.

Joseph Alexandre Guivet est né dans l’Yonne en 1821, décédé à Troyes, 7 rue Guivet, le 30 janvier 1877, à 4 heures du matin et a été déclaré à la mairie à 9 h par Léon, Alexandre, Edmé Couturat, qui vivait avec lui. M. Guivet manufacturier en bonneterie, établit sa firme au 7, avant de la transférer 13 rue Largentier. Son entreprise prit le nom de Couturat et Compagnie, après son décès, puis Société Générale de Bonneterie en 1891. En  1874, M. Guivet a mis au point une machine circulaire à coudre la maille, et en 1875, une machine à coudre de forme rectiligne. Fin 1876, il importe à Troyes, les métiers à bonneterie inventés par William Cotton, d’origine anglaise, et introduits en France à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1867. La rue Guivet s’appelait au XVI° siècle, rue des Cernots, puis rue des Trois-Faulx, et rue du Barbeau. Ces 2 noms étaient empruntés à de grands hôtels qui, ouvrant sur le Marché-au-Blé (Place Jean-Jaurès), avaient par derrière une seconde entrée et de vastes aménagements. En 1769, la rue s’est appelée rue Varveu.

Je vous fait parvenir également la photocopie de la lettre de M . Louis Morin donnant tous les détails au Maire, pour l’appellation de la rue Guivet. Ce courrier n’a jamais été vu par quelqu’un (en dehors de vous) depuis 1911 ! ! !

Pour le Colonel Driant, vous avez les renseignements sur son site.

Sentiments les meilleurs. J.S.         


Message: Bonjour,

Retraité, ex-maire et ex-conseiller municipal de Marnay-sur-Seine, je fais des recherches sur ma commune.

Dernièrement en consultant votre site, j'ai eu la surprise d'apprendre que Nicolas Oudiette, aubois, né à Marnay sur Seine, était un rescapé de la retraite de Russie. A partir de quelle archive avez-vous eu connaissance de ces informations ? Existe-t-il un courrier original ou un carnet de Nicolas Oudiette? Si, oui, comment puis-je m'en procurer une copie? Par avance, je vous remercie et vous prie d'agréer Monsieur, mes salutations distinguées.

Christian GUILLARD

 

Bonjour et merci de votre message. Je n’ai donné qu’un résumé de ce rescapé de la Retraite de Russie. C’est Hachette qui a publié en 1914, le manuscrit original « Mémoires du sergent Bourgogne ». Je puis vous donner quelques détails supplémentaires  qui peuvent vous intéresser : «  Nicolas Laurent, fils du légitime mariage de Laurent Oudiette, maître de pension et de Marie-Jeanne Bellemère, né le 19 octobre1782, a été baptisé le 22 par nous, Bornand, curé et a eu pour parrain Edmé Nicolas Bellemère et pour marraine Anne Elisabeth Delaunay qui ont tous deux avec nous soussigné ». Le père de Nicolas Laurent, qui vécut de 1762 à 1806, était maître de pension, donc, homme instruit. Ce Laurent était lui-même le fils d’un Laurent Oudiette surnommé « L’Ancien », né à Fontaine-Denis dans la Marne et qui fut entre 1755 et 1765, « recteur des petites écoles » de Marnay. S’il y a encore à Marnay de nombreux Oudiette appartenant  à 3 générations différentes, ils descendent d’un frère de Laurent « L’Ancien ».  A Marnay, la tradition familiale n’a pas conservé le souvenir du valeureux soldat de la Grande Armée. La sœur de Nicolas, Louise Pauline, née en 1792, épousa en 1819 un certain Gariusson, capitaine en retraite, né à Pont-sur-Seine en 1769. Quant au dernier né, Emmanuel, il devint maire de Marnay, de 1860 à 1870 et n’eut qu’une fille qui se maria en 1856. Je reste à votre disposition pour tous autres renseignements. Sentiments les meilleurs. JS


Message: Dear SirI don`t speak Frenchtherefore I try it in English! I`ve got some information about a motoball-match between a team of Troyes and the german team of Langenberg (near Düsseldorf) in September 1933. It was difficult for the German teamthey lost the game by 0 - 17! If you are interestedI`ll send you copies of the letters. I am looking for a picture of the french team. May
you help me?  Best regards  Thomas von der Bey.
 Ths a lot for your nice mail. I’m looking for the photo and I’ll send it it you as soon as Y find it yours sincerely. J.S.


Heureuse surprise de trouver mention de l'escorteur rapide Le Champenois. Je suis venu défiler à Troyes le 11 novembre 1968. Excellent souvenir de l'accueil qui nous fut réservé. Quand êtes-vous venus baptiser les affuts ? Je me demande où au Havre ? Lors d'une escale un visiteur nous fit la remarque d'une erreur, l'affut 2 portait la plaque "avant" de Passe Avant le meilleur. Cet affut en surplomb de la plage arrière n'était pas situé à l'avant pour cet observateur averti. Encore merci de cette belle escale à Troyes.

 

Je suis allé baptiser les affuts en octobre 1968, au Havre, vous me voyez sur les 2° et 3° photos, et un de mes fils en 1972 a participé quelques jours à la vie de bord. Comme vous n’avez pas mis votre adresse internet, je ne peux vous répondre directement. Sentiments les meilleurs.

 J.S.


Monsieur, Pardonnez-moi de vous déranger à nouveau. Pouvez-vous me confirmer l'adresse de la maison-mère des usines L. Devanlay-Lacoste, dans l'entre-deux-guerres (en 1931), dirigées par le trio P. Lévy-frères Maus  ? Je lis qu'elles étaient en centre-ville, or je ne trouve que le 19 bis rue des Gayettes, qui est assez excentré et semble très moderne.

Pourriez-vous confirmer ? Par avance, un grand merci. Cordiales salutations, --Cécile Desprairies

 

Madame, cette bonneterie se tenait à l’angle de la rue Charles Delaunay et de la rue de Preize, puis rue Jeanne d'Arc. Bien cordialement. J.S.

 


Bonjour Monsieur. Je viens de trouver sur votre site l'article concernant le condamné à mort DUPUIS de Villeret. Natif de Villeret, j'aimerais en savoir un peu plus sur ce Dupuis.

J'ai retrouvé son acte de décès dans le registre d'état civil de Troyes et sa transcription dans celui de la commune de Villeret, ainsi que l'acte de décès de sa femme Marie Anne Guillemin. Je vais rechercher tous documents de justice ou autre pour éventuellement retracer la vie de ce personnage. Pourriez-vous, si possible, me donner quelques précisions sur l'origine de ce témoignage et sur l'identité du témoin de l'époque. Je vous remercie par avance de l'attention que vous voudrez bien porter à ma demande. Cordiales salutations.

Alain Villetorte


Bonjour et merci de votre message. Le document que je possède se compose de 4 feuillets 21 x 27, tapés à la machine, et d’après le papier et la machine à écrire, il doit dater de 1920/1930. Le titre exact est : « Jugement de la Cour d’Assises de l’Aube qui condamne à la peine de mort le nommé DUPUIS, atteint et convaincu d’avoir noyé sa femme ». Rien d’autre. J’ai trouvé ces feuillets il y a je pense 5 ou 6 ans, avec d’autres documents anciens sur Troyes. Cordialement. J.S.


Bonsoir, Merci beaucoup pour votre réponse rapide. J'ai trouvé aux Archives, cet après-midi, le jugement qui n'apporte pas beaucoup de précisions, mais pas le dossier d'accusation. Bien cordialement. Alain Villetorte

 


Bonjour monsieur, je possède une CPA intitulée "les muses élues par les déléguées des corporations". Cette carte que nous avons pu avec des amis localiser Troyes semble faire partie d'une série. Pouvez-vous me donner des informations sur ces muses ?? Je vous en remercie.

Danielle Lacroix

 

Bonjour et merci de votre message. En 1909, la fête de la bonneterie innove par rapport au passé, en procédant à l’élection d’une Reine de la bonneterie. Les fabricants font savoir qu’ils veulent doter leur industrie d’une «  Muse », figure allégorique du XIX° siècle, souvent évoquée pour présider aux arts libéraux et à la poésie. L’élection de la première Reine de la bonneterie fut un événement. La vote a eu lieu dans les ateliers féminins, groupés par métiers. Je reste à votre disposition pour d’autres renseignements. Sentiments les meilleurs. J.S.

 

 

 

Si votre CPA est de 1909, le nom de la " Muse" est Renée Kuntz qui travaillait comme raccoutreuse aux Ets Desgrez.



Message: Bonjour,

Je suis en possession d'un tableau peint par "Charles des Guerrois" si j'en crois l'inscription au dos de cette peinture : "Portrait peint par Charles Des Guerrois : Me Valtan De Delphine Machet née à Troyes en 18 et morte à Troyes. Son frère était un saint prêtre attaché à une petite cure près de Bar-le-Duc. Je cherche à savoir qui était cette femme mais également si cette peinture à réellement été peinte par Charles des Guerrois ! Il n'est fait aucune référence à ce talent dans ce que j'ai pu lire sur lui... C'est pourquoi je me permets de vous écrire afin que vous puissiez éventuellement m’éclairer. Egalement, si vous le désirez, je pourrais vous faire parvenir par mail une photo de ce tableau. Merci de votre attention. Je vous souhaite un bon dimanche. Cordialement

Pascal LEBRUN

 

Bonjour,

Merci de votre message.

Ce qui a été écrit de plus ancien sur Charles des Guerrois, date de 1916, année de son décès, et en dernier, en 2009. Et, on ne lit au point de vue tableaux, juste qu'il " a légué ses tableaux et objets d'art, pour être placés au Musée ! ". "Lot estimé à 5.000 F par le notaire, comprenant une cinquantaine de pièces d'inégale valeur : peintures dur bois, sur toile, sur cuivre, aquarelles, un carton de gravures...". 

Aucune phrase ne parle de lui en tant que peintre !

Si je trouvais un jour quelque chose à ce sujet, je ne manquerais pas de vous le faire savoir.

Sentiments les meilleurs. J.S.                            


Bonsoir,

Dans vos archives avez vous l’origine du boulet de canon en pierre qui est cimenté dans le bas d’une fenêtre de l’église St Pantaléon (coté gauche). Je ne l’avais jamais remarqué jusqu’à ce qu’un guide troyen ne le montre pendant une visite en disant qu’il se pourrait que ce soit un boulet tiré par les armées de Charles Quint... Amicalement. MTh Mangin

 

Bonjour,

Votre question va me permettre de compléter le chapitre sur cette église, que j'avais fait trop brièvement. En 1523, l'église s'agrandit. Jean Dorigny, Jean et Claude Molé donnent les terrains nécessaires à son extension. Les Molé achètent dans ce but, l'emplacement d'un jeu de boules, et le maçon en a conservé le souvenir en sculptant sur les murs de l'église quelques boules de pierre. Aujourd’hui, on en voit en effet encore une dans la petite rue du Marché-aux-Noix. Un  historien a dit que c'est une fantaisie de l'artiste. Quelle guide vous a parlé de boulet de canon, que je puisse lui donner l'information ? Bien amicalement. J.S.


Bonjour, Je cherche à me remémorer ce qui était à la place du Bistroquet place Langevin.

Il existe depuis 1992. Il me semble qu'il y avait un cinéma ou une salle à cet endroit. Avez-vous cette information ? Merci d'avance pour votre aide. Merci pour vos recherches qui sont précieuses pour connaître notre ville. Bien cordialement. Laurence

 

Merci de votre message.

En 1945, à la place du Bistroquet, M. Robert Saucourt-Harmel avait ouvert rue Louis Ulbach, une salle de 719 places : "Le Normandie", reprise par le Cinéma "Le Paris" rue Emile Zola, sous le nom de "Le Français". Sur le site, vous cliquez sur " La vie à Troyes ", puis sur " Cinémas ". Sentiments les meilleurs. J.S.

 


Dans le cadre d'un projet souvenir de famille, je souhaiterai avoir le nom de l'église et sa petite histoire. mon arrière grand mère allait y prier régulièrement.
elle est situé derrière la bourse du travail, place Jean Jaurès. Ma maman a eu se souvenir de sa grand mère quand nous somme aller  au magasin Ellen. Elle a voulu me montrer ce quartier, nous y avons pris des photos. l'église était en travaux. mais peut être que c'est pas une église car j'ai du mal a retrouver son nom dans le moteur de recherche. Je vous remercie des renseignement que vous pouvez m'apporter. Cordialement, Julie

Bonjour et merci de votre message.
Sur mon site, vous cliquez sur le chapitre " monuments, églises..." puis sur " église Saint-Nicolas ", près des magasins Ellen, et qui était aussi la paroisse de mes grands parents !
A votre service,
Sentiments les meilleurs. J.S.

Message: Bjr et bravo pour ces belles pages.

Je m'interesse à Alfred Droin qui épousa Mme Beer.

En fait je suis le descendant du peintre Antonio de la Gandara et je recherche les 3 portraits dont 2 grandeurs nature que l'artiste fit de Mme Guillaume Beer. Existe-t-il des descendants d'Alfred Droin qui pourraient avoir ces oeuvres dans leur collection.

Cordialement. XM

 

Merci de votre message. Malheureusement, je n'ai retrouvé que les portraits que j'ai mis sur mon site. Il y a 3 Droin dans l'Aube, je n'ai pu les joindre au tél. Ils sont peut-être de la même famille qu'Alfred Droin.

Je reste à votre disposition.


Message: Bonjour, En cherchant tout autre chose je tombe, sur des faits relatifs à TROYES et je découvre votre visage qui m'inspire confiance, je profite donc de l'occasion pour vous demander une petite faveur. Voilà, j'habite Marseille depuis 2001, après avoir résidé à Annecy de 1974 à 2001.
  Je suis Troyenne, j'y ai vécu jusqu'en 1974, cela fait des années que j'ai frappé à beaucoup de porte sur Troyes, mairie organisme du vieux Troyes et autres, pour avoir une reproduction qui me tient à coeur. Effectivement, je suis née rue François gentil au N°16, peut-être vous souviendrez-vous ,cette rue à servit d'affiche pour la publicité de Troyes réhabilité et sous cette affiche il y avait cette phrase (TROYES A DE L'ALLURE ) à cette époque j'avais déjà déménagé pour Annecy. Comme je vous l'expliquais j'ai envoyé des tas de courriers et mails sans succès, car je recherche des archives avec la photo de cette rue avant sa réhabilitation, il est certain qu'elle doit être quelque part dans des archives avec des vieilles vues, cartes postales, surtout cette photo prise au même endroit. Vous savez j'ai eu une enfance pas très gai, j'y ai perdu mes parents dans des circonstances dramatiques mais aussi bizarre que cela puisse paraître, cette rue représente mon enfance car j'ai été contrainte de la quitter en 1966 date à laquelle mon papa est décédé et 3ans au paravent ma maman, j'avais 14ans. Alors peut-être êtes vous mon dernier espoir pour avoir au moins une réponse et des personnes vers qui m' orienter, de plus il y a quelques années j'y suis retournée et j'ai pénétré dans le fond de la cour à droite j'ai eu un gros choc et grand pincement au coeur, ma maison avait été démonté, seulement à la place un vide ou quelques voitures s'y garent. Les propriétaires de cette maison était M et MME KLEIN qui tenaient la boucherie chevaline au coin de la rue Turenne et Général Saussier, ce qui m'a fait le plus de peine est  que j'y était venu l'année d'avant elle était toujours debout et je n'ai jamais osé monter l'escalier, je ne peux vous expliquer que ce regret me poursuit tous les jours depuis. Voilà j'attends beaucoup de ce modeste message qui est crucial par sa l'importance de ma demande, merci de donner suite à ma demande, cordialement.
C'est une demande de Nelly Collodi c'était mon nom de petite fille, bien à vous
 
 
 
Bonjour,
Merci de votre message.
En effet, je me souviens de cette affiche qui avait été préparée par mes services, lorsque j'étais Maire-Adjoint. Je viens de tél. à la mairie et à l'OTSI, afin qu'ils en retrouvent une.
Je vous l'enverrai aussitôt.
Cordialement.. J.S.
 

Je vous remercie d'avoir répondu aussi rapidement à mon appel, je suis heureuse de recevoir bientôt cette affiche.

Mais ce que je recherchais avant tout était une représentation de cette rue dans les années 60 date à laquelle j'y habitais, en cherchant sur internet j'en ai vu qu'une seule que vous avez probablement déposé puisqu'il y a vos coordonnées,  elle est représentée vue du haut malheureusement j'habitais au N° 16 donc dans le bas, c'est pile poil à l'endroit ou à été prise la photos de l'affiche.
Ce qui m'étonne c'est que je trouves beaucoup de rues qui sont représentées de nombreuses fois et impossible de retrouver celle-ci, je pense tout de même qu'elle doit se trouver quelque dans des archives

Dites-moi si je faisais le voyage un jour de Marseille est-ce que j'aurais la possibilité de faire des recherches par moi même, si oui dites moi ou je pourrais m'adresser, excusez encore du dérangement mais c'est tellement très important pour moi et mon petit frère, quelque soit votre réponse je vous en remercie d'avance, bonne journée.

Nelly Torelli

 
Je viens de retrouver cette photo de la rue, et j'espère que cela vous fera plaisir ! ! !
J.S.


Message: Bonjour,

 

Etudiant en deuxième année à Sciences Po Paris, dans le cadre de mon cursus universitaire je participe à un cours d'histoire pénale. Pour celui-ci nous devons rédiger un article sur le site criminocorpus.org sur l'affaire Buffet-Bontems et le tribunal de Troyes. Je suis chargé de la partie sur le tribunal de Troyes (Histoire, architecture...) et je suis tombé sur votre site dans le cadre de mes recherches.
Très intéressé par votre travail je me permets de vous contacter pour savoir si vous aviez des documents ou des sources complémentaires qui pourraient m'aider dans mes recherches.
En vous remerciant par avance,
Respectueusement,
 Lucas Bouissou
 
 
Bonjour et merci de votre message.
Sur mon site, cliquez dans "  Derniers chapitres " sur l'avant dernier : " Vigo ".  Vous verrez que cet écrivain a écrit un livre sur Buffet-Bontems, que vous devriez trouver sur internet.
D'autre-part, sur mon site, cliquez sur "monuments, églises" puis sur "palais de justice", où vous aurez, je pense les renseignements que vous demandez.
Je peux vous adresser la causerie que j'ai faite sur ce sujet (peut-être pas la poste car sans doute trop lourd pour internet).
Enfin, pour agrémenter votre travail, je peux y joindre une coupure de " L'Est-Eclair " qui le relate.
Vous avez ci-dessous, toutes mes coordonnées.
Sentiments les meilleurs. 
 

Cher Monsieur SCHWEITZER bonsoir,

 Je recherche à nouveau quelque chose d'un peu particulier sur Troyes. Il y a eu semble-t-il un vélodrome à Troyes, pas loin de l'école Paul Bert ou peut-être même là où se trouve l'école Paul Bert depuis de longues dizaines d'années. J'ai consulté, bien sûr, votre page sportive, mais n'ai pas trouvé l'information. Se souvient-on encore à Troyes de plus de détails sur un tel passé sportif différent du football?

 Cordialement. François Comparot

 

Bonjour et merci de poser une question dont la réponse est dans le chapitre : « Vie à Troyes – Loisirs ». 

Peu après l’apparition de la première bicyclette, des associations accueillent à Troyes les amateurs : le Vélo club troyen, la Pédale troyenne, l’Etoile sportive troyenne. En 1893, la ville construit (à l’emplacement de l’école Paul Bert actuelle) le vélodrome de Croncels (démoli en 1932), avec sa piste de bois, organisant chaque week-end, des compétitions locales, nationales, même internationales. Un public important se presse pour acclamer les champions. Vers 1920 est construit le Vélodrome de Champagne au Labourat.  J.S.

 


Nom: Dumoulin Jean-Claude
 
Message: Monsieur,

Après avoir lu votre très intéressant article sur les rues de Troyes, voici ma question: pour dater un plan, je voudrais savoir à quelle date a été ouverte la rue du Cirque?
Accessoirement pouvez-vous me confirmer que le Cirque actuel occupe sensiblement la même position que celui, incendié en 1892 qui l'a précédé?
Plus généralement, existe--t-il un ouvrage donnant les dates d'ouverture des rues de la ville, avec éventuellement la correspondance entre nom contemporain et nom ancien.

Remerciements et sentiments distingués

Merci de votre message. Je n'ai rien dans les archives qui indiquent la date du percement de la rue du Cirque. Par contre, je peux vous dire qu'elle existait déjà en 1882, puisqu'elle est nommée à cette date, à l'occasion de la création d'une autre rue.  Le cirque actuel a bien été reconstruit à l'emplacement de celui détruit par un incendie en 1892. Quant à l'ouvrage sur les rues anciennes, il y a " Les rues de Troyes " de Corrard de Breban de 1857. Je reste à votre disposition pour tout autre renseignement. Cordialement





Message: Bonjour Monsieur et merci pour votre site très riche
Troyen d'origine durant 25 ans, je vis actuellement à Lyon depuis 25 ans.
Vous évoquez dans votre article sur le secret des templiers, la motivation de leur quête à Jérusalem avant le création de l'Ordre des templiers.
Avez-vous déjà étudié un objet très particulier faisant partie de l'Arche d'Alliance : le pectoral du Grand Prêtre Aaron, décrit dans Exode 28, 15-30 ?
 
Cordialement,
Marc Dauphin.

Bonjour,
Merci de votre message.
Je connais bien sûr l'histoire du pectoral du Grand Prêtre Aaron, mais je n'ai jamais encore recherché à en savoir plus. .
Sentiments les meilleurs
 

Bonjour, je travaille avec un chercheur et nous étudions ce bijou depuis de nombreuses années.Seriez-vous intéressé par nos travaux ?
Cordialement,
Marc Dauphin.

Bien entendu, et avec votre autorisation, et bien entendu la signature, je pourrai ajouter au chapitre vos travaux.
Cordialement.

Très bien, je peux déjà vous fournir quelques éléments...
Notre démarche est plus globale en lien direct avec l'étude des pierres dans la Bible qui est un véritable "fil-conducteur" de l'évolution et l'histoire de l'Humanité.
Ce pectoral serait donc d'origine égyptienne (époque Amenhotep III) où nous retrouvons l'organisation en triptyque.(voir photo jointe)
Sachant que ce bijou est très précisément décrit dans le livre Exode XXVIII, verset 15-30, nous suspectons très fortement que les chevaliers (futurs templiers) l'ont reconstruit lors de leur premier séjour de fouilles à Jérusalem.
De retour en France, ils offrent le pectoral au Pape (pouvoir spirituel) et au Roi (pouvoir temporel) et ils sont autorisés à créé l'ordre de Templiers avec St Bernard.
Nous retrouverons ensuite les représentations du Grand-Prêtre (statues, vitraux) avec le pectoral sur les façades des cathédrales, comme celle de Reims, mais le pectoral est tourné d' 1/4 de tour avec 4 colonnes, 3 lignes  alors que l'original est 3 colonnes, 4 lignes.(voir photo jointe)

Il reste cependant un mystère concernant ce qui accompagne le pectoral lorsque le Grand-Prêtre demande le jugement divin, il s'agit de l'Urim et le Tumim. Ces 2 termes souvent traduits par "lumière et vérité/sagesse" ne sont quant à eux pas décrits dans la Bible contrairement au pectoral, ce qui peut signifier que ce peuple connaissait déjà ces notions matérielles ou immatérielles, peut-être un héritage égyptien.
Qu'en pensez-vous ?
Cordialement,
Marc Dauphin.

 



Message: Bonjour
Pourriez vous me dire quelques mots sur la maison des jeunes et de la culture détruite en 1978. Savez vous si il en existe une iconographie?
merci   bien cordialement
                                                             B MAJEAN
 
Bonjour,
Vous ne pouviez mieux tomber en posant votre question, car c'est moi qui ai créé les M.J.C. de Troyes, et après demain, il vous suffira de cliquer dans " Nouveaux chapitres " sur Maison des Jeunes et de la Culture, pour avoir tout l'historique et les images voulues.
Sentiments les meilleurs.

Avant le combat
Avant le combat

 

I am wondering who made the statue "Avant Le Combat" shown toward the bottom of the page in the link I am sending from your web site and when. Is a one of one or many produced. Thank you!!!

 

http://www.jschweitzer.fr/autres-c%C3%A9l%C3%A9brit%C3%A9s/ernest-legrand/

 

 

         Merci de votre message. La statue, comme toutes celles figurant dans ce chapitre, sont bien d'Ernest Legrand. Sentiments les meilleurs. J.S.

 

  Merci beaucoup! Quand était-ce fait? Est unique ou y at-il autant d'exemplaires? Merci pour votre temps !! Cordialement,
John Brandt.

   La statue est de 1906, il n’y a pas d’autre exemplaire. La photo fait partie des photos prises à l'atelier Legrand.  J.S.

 

 

Merci à tous pour votre aide et informations !! Bonne journée !!
Jean

 


 

Message: Mon père RAPPENEAU MICHEL était en 1943 dans un maquis de Bois-Gérard, avec deux autres garçons d'Ervy le Chatel: Deconnink Daniel et Martin. Leur chef de maquis s'appelait capitaine Javet. Il m'a souvent parlé de cette affaire Bazin.Il connaissait le garde chasse de Bazin qui les approvisionnait, les renseignait. Mon père savait qu'un faux maquis  formé d'anciens croix de feu sévissait dans la région, volant, tuant pour discréditer la résistance. Après la mort de Bazin, un membre de ce faux maquis a avoué que le coffre de Bazin contenait de pièces d'or Suisse et qu'ils l'avaient enterré au pied d'un arbre dans le parc du château. Mon père était de Flogny, il a pris le maquis a cause du STO. Ses amis Martin et Deconnink dont les familles ont été déportés, dénoncés par le secrétaire de mairie d'Ervy, ont continué leur guerre après la libération, je me souvient de leur passage quand j'étais enfant. Le capitaine Javet a fini au archive de la caserne Mortier à Paris, il était membre des Brigades Internationnales en 1936.

 


François C. Moenchengladbach (Allemagne)

J'ai une question concrète : l'once d'or fin est internationalement appelée TROY du rayonnement commercial de notre ville, bien sûr ! En savons nous plus sur ce sujet ? Y-avait-il d'autres alternatives / candidats à une telle "distinction" ? Pourquoi le Troy s'est-il imposé, jusqu'à nos jours, et les autres non ? Je possède un très vieux livre de 520 pages, paru en Belgique en 1845, qui traite des poids et mesures, mais je n'ai rien découvert concernant le TROY.

 

 

L’unité de poids adoptée en Angleterre pour les transactions sur les métaux précieux est l’once Troy, dérivée de la livre Troy, désignée également sous le nom « imperial troi pound ». Elle est d’un poids de 373 grammes 2419. Cette identité de poids est identique à celle employée aux Foires de Troyes, qui était celle de Florence, l’ancienne livre romaine, et une once Troy vaut une once française plus 10 grains. Ainsi, la livre Troy vaudrait 373 gr 5024, ce qui est un accord parfait. Il y a donc identité absolue entre la livre monétaire Troy des foires de Troyes et la livre impériale anglaise Troy. Etes-vous satisfait de ma réponse ?

 


Bonjour monsieur,
Je viens de lire avec beaucoup d'intérêt votre texte à propos du rosé des Riceys et de Louis XIV. C'est la première fois que je lis une telle anecdote à ce sujet.
Pourriez-vous me confirmer celle-ci et la source s'il vous plait ?
Cordialement
S. Torchet
 

Bonjour,
Merci de votre message.
Cette anecdote est bien réelle, je n'ai pas le temps de rechercher actuellement, mais je pense que cela a été écrit en 1870 par T. Boutiot.
Quand j'aurai la réponse exacte, je vous le dirai. 
Sentiments les meilleurs.
J.S
 


Tout d'abord bravo pour votre site et vos recherches. Je suis absolument fan.

 

Si je vous écris c'est parce-que je recherche des documents (dessins, photos, plans etc...tout sera le bien venu même un lien), sur les souterrains de Troyes.

Auriez vous dans vos connaissances, ceci ?

Cordialement, Alexis.

 

J'ai une quarantaine de pages à ce sujet, écrits il y a une centaine d'années, que je peux vous adresser. Mais vous pouvez sans doute trouver en librairie : " Trésors et souterrains de l'Aube " de Jean-Claude Czmara, aux éditions Passé Simple, sorti en 2009.
Cordialement,J.S.

Message: Bonjour,
 J'ai en ma possession une médaille à bélière comportant sur l'avers "Mendicité n°119" et sur le revers "Mairie de Troyes". Il semble qu'elle date du XIXème s;, et qu'elle permettait aux mendiants dits "invalides" et domiciliés à Troyes d'exercer leur activité sur le territoire de la commune, en dérogation de la loi interdisant la mendicité en France à cette époque.
Face à l'augmentation du nombre de pauvres, plutôt que d'interdire frontalement toute mendicité, certaines villes préféraient "tolérer" les "bons pauvres", c'est à dire les invalides sédentaires, et enfermer les autres "fainéants" (vagabonds valides) dans les dépôts de mendicité...
 J'ai envoyé un mail aux archives municipales de Troyes pour savoir si ils disposaient d'une liste nominative correspondant à ces plaques, car avec la médaille était toujours donnée une autorisation écrite, et j'aimerais savoir si on peut retrouver l'identité du n°191.
 Si vous désirez pour votre site un scan de la médaille en question, je peux vous l'envoyer.
 Cordialement,
 Arnaud Moyencourt

 Aucune liste  nominative n’existe pour ces «  médailles ».  A dater de 1771 (et  en principe jusqu’à la Révolution),  comme il y avait beaucoup de gens désoeuvrés et qui mouraient de faim, on établit des travaux de charité où les ouvriers étaient payés chaque jour… La ville avait fait frapper des morceaux de cuivre pour donner aux ouvriers au fur et à mesure qu’ils travaillaient et, en fin de la journée, ils rapportaient leur morceau et on les payait en argent.   

 
C'est ce que je peux vous donner comme réponse.
O.K. pour scanner la médaille, lorsque je ferai un chapitre  sur ce sujet.
Vous pouvez regarder sur mon site : Les mendiants à Troyes et Le paupérisme.
A votre disposition pour d'autres renseignements.
Avec mes sentiments les meilleurs
J.S

Merci pour vos précisions. Je vous joins deux photos, avers et revers, de la médaille en question.

A.M


Vallée des Viennes
Vallée des Viennes

Bonjour, merci pour votre site. Quel régal!

Auriez vous des informations sur l'abbaye complètement détruite qui se trouvait sur la voie des actuelles Viennes? Son nom d'abord, et puis d'autres choses éventuellement.

 

 

 Merci de votre message. Je pense que vous voulez parler de l’abbaye de la Prée, ou des Prés, ou du Pré Notre-Dame, installée lors de sa fondation vers 1231, dans les marais de Chicherey. C’est un des rares monastères de femmes de notre diocèse. Abbaye cistercienne, elle dépendait de saint Bernard de Clairvaux. Elle était très estimée à son époque, car la mère de notre concitoyen le pape Urbain IV y était religieuse, et y fut inhumée par les soins de son fils. Urbain IV en 1263 fonda un anniversaire pour lui-même à Notre-Dame des Prés et, l’année suivante, lui faisait don de 5.000 florins pour aider à la reconstruction de l’église. Le comte Thibaud V, cher au pape troyen, ne pouvait être moins généreux. Il lui fit, en avril 1270, diverses largesses et fonda également un anniversaire dont sa mort, quelques mois plus tard (décembre 1270), devait le faire bénéficier. En 1790, il y avait 11 religieuses à Notre-Dame-des-Prés. En mars-juin 1791, ce fut la vente du mobilier de l’abbaye, puis sa démolition.   J.S.

 

 

Un grand merci à vous pour ces précisions sur cette ancienne abbaye "des Viennes"

Marie-Noëlle Clément


Je travaille actuellement sur un ouvrage d'archives retraçant l'évolution des rues Troyennes et de ses magasins de 1980 à 2000. Il s'agit d'un travail à base d'archives photographiques, et pour cela je recherche des photos couleur des rues de Troyes durant ces 20 années. Aux archives municipales, on m'a dit qu'il serait possible que vous ayez des clichés se rapportant à ce que je recherche, ce pourquoi je vous écris aujourd'hui. Et peut-être aurez-vous des personnes à me recommander auprès desquelles je pourrais aussi exposer ma demande?

Nicolas Favre

 

Je pense que vous trouverez ce que vous cherchez à l'Académie Troyenne d'études Cartophiles de Troyes, ou à l'Association-Club Cartophilie de Troyes.  J.S.

 

J'ai contacté la personne dont vous m'avez envoyé les coordonnées, et qui a plusieurs blogs sur Troyes, très sympathique il m'a dit que ma requête était difficile à satisfaire car il y a peu - ou pas - de collectionneurs pour ces années là, trop récentes. Mais il m'a proposé de chercher un peu et si il trouve des choses il me le fera savoir. Merci à vous en tous cas !



Bonjour Monsieur,

Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je suis la Présidente de l'Association Mémoire de Saint Pouange. Je recherche qu'elle était la fonction des hôtels du CHAUDRON à Troyes… je n'ai pas le temps avant Avril d'aller à la Médiathèque. Si vous aviez la réponse cela me rendrait bien service.

Merci d'avance. Sincères Salutations. Pontarollo Nicole

 

Bonsoir, vous trouverez ci-dessous les renseignements demandés !

 

Trois immeubles ont porté l’enseigne du « Chaudron ». L’un était situé 5, place du Marché au Blé (place Jean Jaurès) ; le second, entre la Grande Rue et le rue Moyenne, dans l’ancienne propriété Dalbanne, 21 rue Georges Clemenceau et 16, place de la Libération (aujourd’hui, BPC), dénommée ainsi, entre 1662 et 1689. Le troisième, 26 rue Saint Loup (aujourd’hui Chrétien de Troyes), où se trouve la direction des Musées. En 1655, cette rue s’appelle : rue du Chaudron, qui est l’enseigne d’une hôtellerie située à droite du couvent, et dont celui-ci fit l’acquisition cette année-là. Marguerite Bourgeois essaya d’établir une petite communauté, entre 1639 et 1683, sans y réussir, à l’Hôtel du Chaudron, mais lequel ?

 

Sentiments les meilleurs.

 J.S

Bonjour, je vous remercie de votre réponse, ces Hôtels du Chaudron était-ce réellement des Hôtels, ou des maisons ouvertes aux  Pélerins et aux Pauvres ?
Salutations Sincères
Nicole Pontarollo

 

Les 3 hôtels du Chaudron étaient des maisons appartenant à des particuliers. L'hôtel du Chaudron où habitait Marguerite Bourgeois, était un hôtel particulier, "vaste demeure " Il n'y a plus "d'écrits autographes". Le propriétaire était Melle de Chevilly, soeur de Paul de Chomedey de Maisonneuve. Le Chaudron de la Grande rue, appartenait à la fabrique de Saint-Urbain. Celui de la place du Marché au Blé a appartenu à l'office des vicaires de la cathédrale. Il y a donc bien eu à Troyes 3 hôtels du Chaudron, mais certainement successivement et non simultanément.

Cordialement.

J.S

 


Message: Bonjour,

S'il vous plaît me où l'original de ce portrait  Pierre Edmé Gautherin dire? Conservé copie couleur d'un portrait du général? Je serais reconnaissant pour toute aide.

Cordialement,

Alexey Kuzmin

 

Bonjour,

Je vous confirme que la gravure en noir est bien à la Médiathèque du Grand Troyes.

Sentiments les meilleurs

J.S


St François de Sales
St François de Sales
Message: Hello,
 I am a student at the University of Edinburgh interested in Francis de Sales' Introduction to the Devout Life. I have read that King James III's copy of the Introduction is held in one of the monasteries of the order of the visitation. I am wondering if you know which monastery it is, and if you can give me contact information?
Thanks,
Mary Hardy

Bonjour,
Je pense que vous avez regardé dans mon site le chapitre " Religion ", le sous chapitre " abbayes, couvents..." et le sous-sous chapitre " Couvent de la Visitation ". Je vais vous adresser d'autres information, demain, je pense.
Cordialement.
J.S

Regardez aussi dans le chapitre " Religion " le sous-chapitre " Saints et saintes " et le sous-chapitre " R.P. Louis Brisson ".
J.S
 

N.D de l'Assomption
N.D de l'Assomption

Céline Lanier. Monsieur,

D'abord félicitations pour ce site très intéressant. Je cherche des informations sur le village de Pel et Der.  Il existe des infos éparses mais pas facile de recréer une histoire plus longue…


Voici quelques renseignements que je peux vous fournir.

Au XV° siècle avant Jésus-Christ, la Gaule est habitée par 4 peuples différents, dont les Celtes, nommés Gall par les Romains, venant des régions septentrionales de l’Asie. Ils occupent les régions arrosées par la Seine et par l’Aube, à l’ouest de la grande forêt appelée Der. A l’origine, la partie crayeuse servant de limite aux contrées jurassiques et montagneuses sera appelée plus tard la Champagne. La grande forêt, servant de limite à l’une et à l’autre devient le pays ou contrée de Der. Le Der, Dervus, Dervensis, doit son nom aux profondes forêts de chênes qui couvraient la formation des grès verts. Aujourd’hui encore, La Villeneuve-au-Chêne et 6 autres villages voisins ont leur Der qui n’est autre qu’une parcelle de l’ancienne forêt dans laquelle chaque communauté d’habitants exerçait ses droits d’usage. Un des capitulaires de Charlemagne en 794, ordonne la destruction des arbres et des bois sacrés où le culte des druides s’est conservé. De cette époque datent les premiers coups de hache donnés dans l’antique forêt du Der. Cette œuvre appartient surtout aux monastères qui plantèrent la croix sur l’emplacement de ces forêts et ouvrirent ainsi les communications entre le pays de Troyes et celui de Langres. L’abbaye de Montiéramey revendique l’honneur de ce premier défrichement. Saint Epevre (Aper), né à Trancault a vécu au X° siècle à Montier-en-Der. En 837, au temps du comte de Troyes Aledran et sous l’épiscopat d’Adalbert évêque de Troyes, le moine Adrémar planta la croix sur un monticule placé au bord de la Barse et dans la forêt de Der. Aledran donne aux religieux la place du couvent et une grande superficie dans la forêt de Der. C’est à l’établissement de l’abbaye de Monriéramey et aux défrichements qui s’ensuivirent, que l’on doit l’ouverture de la forêt de Der dans la direction de Vendeuvre. Saint Epevre (Aper), né à Trancault a vécu au X° siècle à Montier-en-Der. En 857, Auzon est confirmé à l’abbaye de Montier-en-Der. En 864, Charles le Chauve, confirme une donation faite par Odon aux religieux de Monriéramey qui avaient demandé à faire « essarter » la forêt de Der, afin d’y établir une église près de la Barse et de mettre en culture quelques parties de cette forêt. Adson abbé du Der en 968, va en Terre Sainte en 992. En 1137, l’abbaye de la Rivour s’éleva sur un fond de terre nommé Buxei (lieu bas et humide) appartenant à l’abbaye Saint-Loup de Troyes, à l’ouest de la forêt du Der. L’abbaye devint un riche monastère. Le premier abbé Alain, choisi par Saint-Bernard parmi ses religieux de Clairvaux devint évêque d’Auxerre en 1154. Six ans après, se dresse au levant de cette forêt d’Orient, l’abbaye de Bassefontaine. Ces 3 abbayes continuèrent les défrichement de la forêt du Der commencés par celle de Montiéramey  et si largement continués par les Templiers au siècle suivant. Montier dérive du latin monasterium.


Je vous remercie pour cette réponse et le temps que vous y avez pris. Tout ce que vous indiquez est très intéressant. J'ai découvert hier l'analyse du cartulaire de Bouranton faite par l'abbé Laloche et j'ai lu aussi le catalogue d'actes des comtes de Brienne de 950 à 1356. Si jamais vous possédez d'autres informations sur Pel et Der je suis pleinement preneuse. Poursuivez votre site c'est très intéressant.

Bien cordialement

 

 


Puits de la place du marché aux oignons

Un ancien du quartier Saint-Nicolas m'a relaté l’existence ''d'éventuels'' cours d'eau similaires à ceux de l'ancien quartier du Gros Raisin, situés entre les rues Huguier Truelle, de la Pierre, Viardun et Turenne. Sur aucuns anciens plans je n'ai trouvé mention de ces ruisseaux. Avez-vous des précisions à ce sujet?

Y.C

 

En 1806, la mairie choisit l’intérieur d’un souterrain de la Tour-Boileau pour y établir un puits artésien. En juillet, on atteint à 25 m 65 de profondeur, une première nappe d’eau, mais pas assez ascendante. Le 15 août on trouve à 54 m 72de profondeur, une nappe d’eau artésienne, qui jaillit dans la Tour-Boileau à la hauteur de 3 mètres, d’une excellente qualité. Le moteur serait, selon le projet, un moulin à vent dans le genre hollandais. Mais ce dernier n’est pas établi, En 1829, la mairie est favorable au forage de puits artésiens, aussi bien dans le département, que dans Troyes. En mai 1830, on parvient à plus de 412 pieds, lorsque des éboulements viennent boucher l’orifice du puits, ce qui décourage les opérateurs. En 1852, le docteur Carteron nie l’existence d’un cours d’eau souterrain assez puissant et assez fort pour déterminer un jaillissement artésien sur le sol de Troyes, et tout est annulé. Le puits artésien a suscité bien des espoirs, mais est vite tombé en désuétude, car il n’y avait pas  de cours d’eau dans le sous-sol, et c’est pourquoi vous n’avez pas trouvé de mention à ce sujet !

J.S

 


Rue Emile Zola
Rue Emile Zola

 

Pour la Rue Emile Zola je n'ai pas moins de 14 noms différents. Par contre je n'ai aucune chronologie de l’attribution de ces noms. Avez des précisions à ce sujet?

Y.C

 

Lorsque le Conseil municipal de Troyes donne le nom d’Emile Zola à une rue, celle-ci était en 4 parties : la rue du Marché-aux-Oignons, de l’Epicerie, de la Fanerie et de Notre-Dame proprement dite (pour l’abbaye de Notre-Dame aux Nonnains Place de la Préfecture).

- la rue Notre-Dame entre la Place de la Libération et la rue Raymond Poincaré,

- entre la rue R. Poincaré et la rue G. Saussier : en 1332 appelée rue du Foin (marché au foin), en 1550 de la Fanerie et avant de la Clef d’or

- entre la rue G. Saussier et la rue de la Trinité : rue de l’Epicerie, une des plus ancienne de Troyes (où étaient vendues les épices, lors des Foires de Champagne),

- rue du Marché-aux-Oignons : s’était appelée successivement rue de la Friperie, de la Draperie, de la Ganterie, de la Chaussetterie et en 1550, de la Clef d’argent (nom d’un grand hôtel), en 1563, de la Savaterie.                                                     

            Le nom de rue Notre-Dame a été donné le 12 août 1851, et celui d’Emile Zola, le 25 juin 1904.

  Sentiments les meilleurs.

J.S

 

Eglise de Montgueux
Eglise de Montgueux

 Bonsoir, je m'appelle Riglet Sébastien et j'ai fait des recherches sur un de mes ancêtres Nicolas Riglet. Pourriez-vous m'en dire davantage ?

 

Bonjour,

 Vous avez en effet 2 ancêtres célèbres, qui furent maires de Troyes : Nicolas Riglet, écuyer, seigneur de Montgueux, maire du 11 juin 1544 au 11 juin 1546.

 Moyse Riglet, écuyer, seigneur de Montgueux, du 11 juin 1626 au 11 juin 1628.

 C’est grâce à l’opiniâtreté de Nicolas Riglet  que Troyes s’est fortifiée, que la ville est mise dans un état de défense qui ne s’est pas encore vu, et que les frais ont été pris en charge par le roi François 1er qui a mis « tous ses soins à la fortifier ».

 J’espère avoir répondu à votre question.

J.S

Je vous remercie de votre réponse aussi rapide. Savez-vous s’il est possible de récupérer les titres de noblesse de mes ancêtres ? N’avaient-ils pas d’autre seigneurie ? Où puis-je trouver un arbre généalogique de ma famille dont je suis fier ? Sinon je vous souhaite de passer un bon réveillon de la Saint Sylvestre.


En ouverture de votre beau site sur votre ville « Troyes d’hier et d’aujourd’hui » se voit un grand portrait de Monseigneur de Pélacot où le nom du peintre n'est pas mentionné. Ce n'est pas normal. Diogène Maillart (1840-1926) en est l'auteur, comme cela est su à Troyes, Premier grand Prix de Rome de Peinture sous Napoléon III. Espérant pour la mémoire du peintre et l’intérêt de l’œuvre que ceci pourra être mis à jour, je vous adresse, Monsieur, mes respectueuses salutations.

Béatrice Aubin Diximus née Maillart

 

Merci de votre message. J'ai pris bonne note de votre information, et vous pouvez lire que j'ai donné le nom de votre ancêtre comme peintre de Mgr de Pélacot, et même ajouté son buste ! Avec l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

 J.S


Existait-il une fête de l’âne à Troyes ?

 Jean M.

Il existait bien en plus de la fête des Fous, et de celles des Innocents, la fête de l'âne. Cette dernière était moins scandaleuse que les deux premières, mais n'en restait pas moins choquante. Au lieu de l'Ite missa est, un diacre imitait les braiments d'un âne, en mémoire de la fuite en Egypte.

J.S.

J'aurais dû vous remercier depuis longtemps. Mon frère, décédé l'an dernier, avait chanté cet âne sous la férule de M. Samson. Je crois bien que la maîtrise de la cathédrale n'est plus aujourd'hui qu'un beau souvenir...dont l'histoire devrait être écrite.

EMJ


Message: La rue la moins large de la ville s'appelle rue Jean Simonnet. J'ai déjà fait quelques recherches pour savoir qui était cet homme, est-ce un ancêtre ?... Sans résultat, sinon que le nom de la rue est déjà inscrite sur le cadastre (de 1805 je crois). Peut-être pouvez-vous m'en dire plus, car vos recherches sont infinies et fort interessantes.
Merci d'avance.
 Simonnet

 

Bonjour,
Après de nombreuses recherches dans les archives de la mairie, je pense que Jean Simonnet état un ancien orfèvre. 
J.S
Cordialement.

 

Message: Bonjour,
S'il vous plaît nous dire en quoi les musées ou les archives sont les portraits du général Gautherin.
Cordialement,
Alexey Kuzmin


Ce portrait a été édité par l'éditeur CAFFE, qui depuis 1870, éditait chaque année, le calendrier des hommes célèbres de Troyes, avec 2 personnages chaque année.

Celui qui vous intéresse, est à la Médiathèque de Troyes, " Réf. Cabinet local 2419 ".

Heureux si cela vous convient.

J.S


Message:
Bonjour Monsieur, où va ensuite le canal  que l'on n'a récemment  rouvert derrière le Théatre de Champagne ?
Merçi. Amicalement .
                        Melle Varlet Chantal
Bonjour,
Comme vous pouvez le lire dans le chapitre de la vie à Troyes "navigation", le canal traversait Troyes, avec une écluse juste après le cirque. Lors de la Libération, le pont de la préfecture, les 2 tournants de la rue de la Cité et de la rue Passerat ayant sauté, les péniches ne passèrent plus. Le maire, Monsieur Terré (j'étais déjà au Conseil avec lui), a fait voter la couverture du canal de dalles pour la partie entre le pont de la rue de la Cité et le boulevard Danton,  afin d'élargir les quais et de glisser entre eux une bordure végétale. Ensuite, pour faciliter la circulation, en raison du nombre de plus en plus important des voitures, a été créée l'Avenue Chomedey de Maisonneuve, mais là, le canal coule dans une très grande canalisation, et continue vers Barberey. (voir aussi la fin du chapitre "Tout à l'égout".
Cordialement,
J.S

Message: Pouvez-vous me dire si la rue Urbain IV existait dans les années 1930 ? Je ne l'ai pas trouvée dans le recensement de la population de 1931. Si non quel était son nom ?
Avec mes remerciements
H.M

Bonsoir et merci de votre message.
C'est par décision du Conseil municipal du 12 aoùt 1851 que la rue s'est appelée " Urbain IV ", pour rappeler le souvenir de Jacques Pantaléon, notre illustre Troyen devenu le pape Urbain IV.
Avant, elle portait le nom de rue Moyenne, car située entre les deux grandes rues qui lui sont parallèles, au nom actuel de de Gaulle et Emile Zola.
A votre service pour d'autres renseignements.
Avec mes sentiments les meilleurs.
J.S

Message:
Y'a t'il un livre qui reunit tout les chapitres de votre site car cela m'intéresse  beaucoup  quel en est le titre et le tarif
Svp  bonne journée a vous.
 Patrick
Réponse:

Merci de votre message, mais j'ajoute un chapitre  tous les 2 jours, et je suis encore loin d'avoir épuisé l'histoire de Troyes.
Par contre, vous pouvez regarder dans la page " Accueil ", le sous chapitre " boutique ", où il y a mon livre " Des Tricasses aux Troyens d'aujourd'hui " qui peut sans doute vous intéresser.
Avec mes sentiments les meilleurs. 
J.S
 

Message: Bonjour,
Votre site est décidément formidable. J'aimerais le citer dans mon rapport de stage (pour la partie bonneterie, car j'ai fait un stage chez Devanlay-Lacoste).
 Pourriez-vous, je vous prie m'indiquer vos nom prénom et la date à laquelle vous avez créé ce site ? D'avance, merci et bonne soirée à vous.
Géraldine
Bonjour et merci de votre message,
Je vous remercie également de citer  dans votre rapport cet ouvrage que j'ai créé début février 2011, er dont j'essaie de mettre 3 nouveaux chapitres par semaine (déjà 561).
Avec mes sentiments les meilleurs.
 Jacques SCHWEITZER


 

 

 Message: Bonjour,

 

 Comme souvent sur Internet, je suis tombée par hasard sur votre site et j'ai pu en apprécier sa richesse et sa diversité.

 

Suite à la lecture du livre de Philippe Ariès sur  "L'enfant et la vie familiale sous l'ancien régime", je cherchais à me procurer le livre de Jean-Baptiste de La Salle : "Règles de la bienséance et de la civilité chrétienne"...
...J'aimerai trouver une version avec une calligraphie claire, voire traduite en français contemporain et bien sûr d'un coût raisonnable. Savez où je puisse me procurer ce genre d'ouvrage ?

 

Merci pour votre réponse.
 Florence EMMANUEL
Réponse :

Bonjour,
Merci de votre message. Le livre de " La bienséance et de la civilité chrétienne " a été édité à Troyes en 1822. Il est très difficile d'en trouver un exemplaire, et en effet, la lecture n'est pas facile. Vous devez regarder sur Ebay et Pricemister, en mettant votre demande.
J'ai trouvé le mien ainsi, il y a déjà quelques temps, pour un prix très modique.
Cordialement.
J.S

 


Stèle de Montgueux
Stèle de Montgueux
Message:
Je viens de regarder votre site qui est remarquablement documenté mais je m'interroge; ma femme a eu son père ( qui était sergent dans la résistance) fusillé au trou de Chirac avec plusieurs autres  et hélas vous n'en parlez pas; c'est dommage mais peut-être l'ignorez-vous. Une stèle est édifiée dans ce fameux trou de Chirac qui se trouve sur le site de Montgueux.
 Brochard
Réponse :

Bonjour et merci de votre message,
Ne craignez rien, je parlerai bien du trou de Chirac, avec d'autres monuments de fusillés, prévus dans le chapitre " Troyes pendant les occupations ". Mais j'ai déjà réalisé 554 chapitres, et je pense sortir celui qui vous intéresse le mois prochain.
Cordialement.
J.S
 

Maison du Boulanger
Maison du Boulanger
Message: Y-a-t-il encore beaucoup de maisons médiévales à Troyes? visibles dans leur état d'origine ou recouvertes de crépi ou autre matériau.
Merci pour vos travaux de recherches.
Hopchteidre Michel

Réponse:
Bonjour et merci de votre message.
Ce n'est qu'à partir de 1945, avec le maire Henri Terré que la Ville s'est préoccupée de la réhabilitation du quartier Saint-Jean pour commencer. Voyez le chapitre " Maison du Boulanger " 1er immeuble réhabilité.
Toutes les maisons à poutres apparentes que vous voyez sont postérieures au grand incendie de 1524, et la plupart avaient été recouvertes de crépi. Elles sont bien d'époque.
Il reste comme bâtiment avant l'incendie de 1524, juste la grange des Chanoines de Saint-Pierre, place de la Cathédrale, et qui est actuellement en rénovation. 
Voulez-vous d'autres renseignements ?
J.S
Cordialement.

Visage troyen
Visage troyen

 

 

Bonjour. J'ai une question toute particulière et qui me tient à coeur :

Est-ce que le terme "visage troyen" vous dit quelque chose ? "visage" ou autre terme approchant.

En effet, dans une correspondance datant de 1832, et qui m'a été transcrite (pas d'originaux sous la main) un de mes ancêtres écrivait ceci : « je te dirai, mon cher camarade, que je remettrai mardi prochain 27 du courant deux paniers à la diligence, celui des deux qui sera dessus et qui t’est adressé, tu en fera l’ouverture et tu y trouveras un visage troyen tout entier que tu t’adjugeras, plus tu y trouveras un demi-visage destiné à Sophie que Charles prendra chez toi le 31 de ce mois .J'ai eu beau chercher, je n'ai rien trouvé concernant ce fameux visage.  Je m'adresse donc tout naturellement à vous en espérant y trouver la clé de mon énigme.

Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ce message.

                                                                          Catherine Faton

Réponse:

Bonjour et merci de votre message. En principe, le « visage tout entier », est un jambon (voyez  dans le chapitre «  Troyes précurseur », le sous chapitre « Premiers charcutiers du monde »), et pour Sophie, un ½ jambon, mais peut aussi désigner des langues de moutons.

Le terme «  Visages de Troyes » a été ensuite pris au sens propre par l’Abbé Ledit, qui a écrit entre 1948 et 1980,  une trentaine de petits fascicules.

J.S

                   

 


 

Message: Bonjour,

 

Vous serait-il possible de m'adresser des informations complémentaires sur ce qui suit :

 

"1817 Bertrand et Varache, qui, à la tête d'émeutiers pillent à mains armées et avec violence: décapités le lendemain"

 

 Merci par avance,

 

 Cordialement,

 

 P.Varache
Réponse:
Bonjour,
Vois quelques renseignements supplémentaires :
Le 4 juillet 1817 : Joseph Bertrand, dit Homère, manouvrier à Courtavant, et Jean-Baptiste Varache, pâtre au même lieu, à la tête d'une bande d'émeutiers font irruption sur Villeneuve, et, sous prétexte de la chèrté  et de la rareté des grains, envahissent les maisons des principaux propriétaires qu'ils volent et pillent à mains armées et avec violence. Ils sont décapités le lendemain, à 2 heures de l'après-midi. 
Sentiments les meilleurs.
J.S
 


3, rue Charbonnet
3, rue Charbonnet